FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Octobre 2024 Partager sur Facebook
  • Photos
  • La surprise du matin
    L'arrivée sur Roanne
    L'arrivée sur Tarare
    Ca demolit sévère
    Bravo, vous etes tombés du bon côté
  • Mercredi 30 Octobre 2024
  •  

    Je dois me lever un peu plus tôt que c'est dernier temps. Mais , je suis un peu préoccupé ce matin, car à 2H57 pour être bien précis un bruit métallique (celui que l'on connait bien, celui des barres lorsqu'elles sont brassées par la bâche") m'a réveillé Et à peine réveillé, qu'un second bruit similaire est venu troublé une nuit bien calme. Pas de doute, mon voisin et/ou moi, avons des traces de cutter. Mon voisin étant parti, je n'aurais pas ma réponse, mais me concernant, j'ai bien une petite virgule. Et je ne suis pas le seul. Le collègue Combronde est aussi marqué, ainsi que son voisin. Je fais rapidement un tour, et trouve 7/8 camions ayant la même trace. La saison, avec l'approche des fêtes est lancée. C'est déjà la seconde fois pour moi, depuis que je suis chez Combronde.

    Malgré tout ma nuit a été plus que correcte. Je me fais quand même un petit déjeuner pour lancer cette journée, dans la brume matinale de l'Allier. Elle m'accompagnera jusqu'à la frontière du Rhône, où je trouve un beau soleil.

    J'arrive avec trois minutes de retard à mon RDV de Satolas, mais il y a peu de camion. Je serais de suite à quai, au 07, si ma mémoire est bonne, mais on s'en fout un peu. 

    Vingt minutes plus tard, je peux retourner au bureau chercher mon carnet de CMR.

    Par contre, pour le RDV de Meyzieu à 10H00, inutile de se prendre pour un pilote de rallye, je ne suis qu'un tourne volant. On arrivera quand nous (je ne sais plus dans quelle région vient cette phrase).

    Pas de camion en attente sur le parking à Meyzieu, mon quart d'heure lyonnais de retard passe crème. De toute manière, les caristes ne sont jamais pressés pour se mettre à la tâche. Ce jour, c'est un nouveau qui va me charger mes 33 palettes (28.7 T....). Putain, un maniaque et assez rapide malgré tout. 

    Lorsque je reprends la route pour remonter à Checy, il me faut d'abord couper trente, et ce sera à l'aire de Mionnay. Impec, c'est l'heure de la soupe. Enfin soupe...disons repas, léger comme d'habitude à midi.

    J'hésite à passer par Macon et récupérer la RCEA jusqu'à Moulins, ou passer par l'A89 jusqu'à Balbigny, puis N7. Pas d'écart kilométrique, ou si peu, alors j'opte pour le "moins autoroute" : A89 / Balbigny.

    Avec mon poids, ou plutôt celui du camion, je ne fais pas d'exploit. Dans Bessay d'Allier, on passe difficilement, car un LT en Merco est tombé en panne dans un virage au cœur du village, et sans visibilité. Les képis font la circulation.

    Je ferais une petite pause technique sur la déviation de Moulins, puis continue ma route jusqu'à Gien. Je stoppe sur le parking du client où je chargerais demain. Les toilettes et les douches sont accessibles toute la nuit.