Carnet de bord de Septembre 2025 | Partager sur Facebook |
On va éviter les bouchons sur Lyon ; départ du dépôt à 5H30, histoire d'arriver à Loire pour y déposer ma boite une heure plus tard. On ralentit un peu à l'approche de Givors, mais rien de sérieux. Au dépôt, je pose, mais je ne reprends pas de boite sur place, je remonte, comme hier sur Saint Priest. Ce matin, il y a bien plus de camions à l'entrée. Je passerais bien trente minutes sur place pour avoir ma nouvelle boite, car j'ai dû attendre un grutier sous l'enjambeur où j'étais positionné.
En partant à plus de 7H30, ce n'est pas la bonne heure pour rouler dans une grande ville quelle qu'elle soit, et malheureusement, Lyon, ne fait pas exception. Le BUS (boulevard urbains sud) est archi blindé, une fois l'A7 récupéré, ça roule assez bien jusqu'au tunnel de Fourvière. Je perds quarante minutes par rapport à hier. Je coupe à la petite aire des Pierres Dorées, pour un petit café et histoire de faire une quinze. Je ne pourrais pas faire un second tour ce jour, car Virgile a besoin de moi demain matin de bonne heure.
Sur le site de la Combaude, je prends mon temps. Les gars y sont sympas, les locaux pratiquement neuf et très agréable, je coupe donc mes trente restant, une fois mon container sur le dos.
Thibaud m'a confirmé que je pouvais passer chez Renault pour remplacer l'antenne. Je lui renvoie un message "j'y serais pour 15H00". Une fois ma pause finie, il est temps de rentrer sur Lyon, full autoroute, avec mon container vide. Je le dépose au dépôt, puis je gare l'open-box à sa place, pour partir en solo au garage. Sur le parking à 15H02, plus fort que la SNCF….
C'est un jeune mécano qui va s'occuper de Valentino, et en trente minutes c'est torché. Retour à la base, raccroche de ma belle mère, un coup de GO dans mon petit réservoir pour plus de tranquillité, et passage au bureau pour y laisser les CMR de la semaine.
A 17H30, je remonte dans ma petite voiture pour un retour à la maison. Comme hier, je suis bien vanné, et ce n'est pas en raison d'une surcharge de boulot, mais bel et bien un état "grippal".