FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Novembre 2024 Partager sur Facebook
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  • Réveil au dépôt de Veauche
    Valentino tout propre et chargé pour lundi
  • Vendredi 29 Novembre 2024
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    Après un passage à la salle de bains, histoire de me peigner correctement, je passe au garage pour le pression de mes pneus ; il me semble bien que l'avant gauche est un peu faiblard. En effet, il manque 1 kg.

    Il est encore trop tôt pour aller à la contre visite, autant en profiter pour faire les quelques niveaux. Pas besoin, d'huile, pas besoin d'eau de refroidissement, mais uniquement du lave glace. Je lassis Philippe vaquer à ses obligations, et je pars tranquillement à St Just. La boite est déjà ouverte, mais seul le patron est en poste, et ça l'arrange que je vienne en avance. Le temps de rentrer et de faire quelques contrôles d'usage, il branche sa "valise" pour confirmer que l'ODB n'indique rien de mauvais. Contre visite passée avec succès, on peut rouler tranquille pour les douze mois qui suivent.

    Tophe est bien dans le coin, mais bien entendu, dès que je lui demande de payer son café, il se trouve du boulot. Alors, je file au dépôt, au moins là bas, il n'y a pas que des pinces. D'ailleurs, c'est bibi, qui paye le café à Olivier, en présence de Cindy, que j'avais eu au téléphone cette semaine, mais pas encore vu. Sa reprise se passe pas mal, elle n'a pas encore géré nos plannings.

    Une fois ce moment agréable de détente, on retourne à la dure réalité de notre quotidien, et le quotidien pour un petit chauffeur que je suis, quand on est vendredi, c'est de passer son ensemble au bain. Bon, vu qu'au dépôt c'est brosse et karcher, je ferais uniquement le tracteur, ainsi que le châssis de le remorque, et les roues bien sûr.

    Après près d'une heure de nettoyage, je pars voir Lionel, le mécano; un petit café, puis je tente d'aller vider avec une heure d'avance sur Meyzieu.

    Sur place, il y a Julie, du dépôt de St Pourçain, l'attente est plus rapide. On m'appelle avec trente minutes d'avance sur mon RDV. 

    Rechargement à SQF pour le même donneur d'ordre. Sur place, on m'annonce "équerre et sanglage sur 24 palettes" ; et merde. Moi, qui pensais rentrer un peu tôt ce vendredi. Puis les équerres, je n'aime pas ça, tu les prends toujours sur la gueule.

    Toujours est-il que je suis de suite à quai, malgré que je sois en avance. Ici, c'est toujours rapide à charger ; vingt minutes c'est plié. Moi, je mettrais le double de temps pour positionner mes huit équerres et mes douze sangles. Le bon côté de la chose, c'est que ca me réchauffe bien. 

    Voilà, c'est fait, il ne me reste plus qu'à rentrer. 

    Au dépôt, comme tous les vendredis, il n'est pas simple de se garer, mais je trouve une place potable pour pouvoir partir lundi. Direction La Courneuve, puis je chargerais à Porcheville (sans doute des bobines là bas), pour La Frette dans l'Isère.

    Je croise Olivier et Robert, ils sont déjà rentrés. Yohan est arrivé encore plus tôt ; seul Benoit manque à l'appel.