400 Nouvelles photos SCANIA avril 2019

Pour survivre, l’homme doit en moyenne absorber 2350 calories, pour entretenir son corps et son cerveau, à celà, il faut ajouter une quantité minimum d’eau 1,5L, 80% des hommes consomment également au moins une fois dans la semaine du porno sur internet, ce qui est vital pour eux.:love: :love:
Il est également médicalement prouvé que pour survivre, l’homme a besoin de mater des photos de SCANIA, sans quoi, il peut parfois être pris de malaises, tremblements et autres delirium tremens. :protester:
Prescris sans ordonnance médicale, FDR à la solution avec les 400 photos SCANIA ajoutées aujourd’hui, oui, 400 et sans le faire exprès, pile poil, encore un mystère, sans théorie du complot ! :o :o :o
Voici donc 400 photos envoyées par Bata25, l’Ardechois et son 110, Jason DL, Mich, Tophe, Cordoba580, Bjorn, Samu88, Luc Perrin, Blum29, David Houche, Yohan, Pierre Leduc, Jaka, Tibal Vincent :vague:

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/9

44 Nouvelles photos camions Américains

44 nouvelles photos avec Surprise Bonux, des photos du salon Expo Cam de Toronto, on ne recule devant aucun sacrifice !
Merci Walter, Samu, Turbo, Mich
Bon visionnage, bon partages, bon cliquement !

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Trombinoscope

Qui ne figure encore pas dans le trombinoscope !?

Si vous en êtes pas certain, cliquez-là, sinon, envoyez votre photo ! Impossible que vous n’ayez pas au moins une connaissance la dedans ! Certaines photos ont près de 15 ans, l’occasion de charier certains de vos collègues, rions un peu ça fait du bien !

Bon visionnage, bon partage, bon domingo !

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CDB 2019 Phil26 #15

Déjà la 15e semaine de carnet de bord de l’année. Le boulot est calme, qu’es ce qu’il va se passer ? Nouvelle crise ? Reprise ? Bref, c’est le flou le plus total ! En attendant, ma prose est en ligne, c’est à lire en cliquant ici, mais c’est pas une obligation ! Merci en tous cas pour vos partages et messages toujours amicaux, bon clics, FDR a besoin de vous !!

http://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

Avec Alexandra la belle Aragonaise

A 23 ans Alexandra est l’une des rares conductrices de camion pour la livraison d’aliments pour bétail en Espagne.

Mais la petite Alexandra a de qui tenir puisqu’elle est de la 5e génération de chauffeur dans la famille. Autant dire qu’Alexandra n’a eu aucune difficulté pour obtenir son permis poids lourds. Tombée toute petite dans la marmite, son père lui a appris dès ses 10 ans à manoeuvrer le camion.

En Espagne, il n’y a pas d’école de routiers comme chez nous, il faut attendre d’avoir ses 21 ans pour passer le permis en en avant ! Alors elle a fait quelques études de vétérinaire, puis changement de cap avec des études d’électromécanique automobile qui l’ont conduite 7 mois dans un atelier Mercedes.

Tout ce qui a un moteur passionne Alexandra, du quad à la Mustang, mais son amour c’est son MAN, elle est une fan inconditionnelle de marque allemande.

Depuis son plus jeune âge Alexandra venait visiter les transports Aralogic de Zuera entre Saragosse et Huesca, dès l’obtention de son permis, Alexandra a été embauchée dans cette société qui compte 120 employés, dont 25 spécialisés dans la distribution d’aliments pour animaux.

Alexandra ne souhaite pas partir sur la route, elle aime l’Aragon et rentrer chez elle tous les soirs, même si les journées de 15h d’amplitude sont fréquentes.

Chaque soir, l’usine de Monzalbarba, donne le programme pour le lendemain, en principe, Alexandra enchaine 3 voyages par jour sur l’Aragon, ou les routes et accès ne sont pas toujours simples, routes étroites et parfois pas goudronnées, mais elle ne se plaint pas. Elle gare son camion dans la banlieue de Saragosse ce qui lui fait moins de trajet chaque matin.

Elle démarre la plupart du temps vers 6h30 et chaque journée est assez variée, du coup elle ne s’ennuie jamais à bord de son MAN TGX 480. Lumpiaque , Plasencia de jalon , Magallon , Tarazona , Bolea , Valfonda de santa ana , Barbues , Almudevar , Tauste , Ejea , Sancho abarca , Santa anastasia , Valareña , Garrapinillos sont ses destinations les plus fréquentes, dans les fermes, elle se debrouille toute seule, les agriculteurs ont d’autres choses à faire que de la surveiller, ils savent qu’ils peuvent compter sur elle.

Parfois, il lui arrive d’aller charger du grain ou des céréales à Barcelone ou Tarragone, ça lui change un peu les idées !!

Bien que les filles soient encore rares au volant d’un camion en Espagne, et plus encore avec les camions d’aliments pour betail, Alexandra a assez rapidement été bien accueuilli par ses collègues de travail, et ne sont pas avares de coups de main et d’entraide. Bien sûr il y a quelques ronchons de la vieille école qui ne peuvent pas comprendre ni sa passion du camion, ni qu’un employeur puisse confier un camion à une fille aussi jeune ! Alexandra a de très bonnes relations avec ses chefs de service, Jaime et Mariano qui sont toujours agréables avec elle ! Travailler en bon esprit, c’est vraiment une chose rare de nos jours.

Mais Alexandra ne compte pas s’arrêter en si bon chemin, son projet c’est un jour de s’installer à son compte, comme son père et pourquoi pas avoir même plusieurs camions. Passionnée et determinée comme elle l’est, je pense qu’on peut lui faire confiance !

France Routiers N°20

C’est vendredi, c’est le jour de se plonger dans la lecture des vieux France Routiers, scannés par Pat56.

Bien que la couverture ne soit pas bien alléchante, le contenu de ce n°20, est tout bonnement excellent, on y trouve l’essai du Volvo F1020, un zoom sur un routier de la Formule 1, un dossier complet sur les centre routiers en France, un périple en convoi exceptionnele en Afrique, et bien sûr toujours ces vieilles publicité dont regorgeait la revue, devenues collector aujourd’hui.

En un mot comme en cent, ne le manquez sous aucun pretexte, cliquez ici, pensez aussi à cliquer sur nos bannières, d’avance merci et bonnne lecture !!!

Une journée de sciure et copeaux

Lors de mes petites vacances, j’en ai profité pour découvrir un secteur du transport que je ne connaissais pas. Le transport de sciure et de copeaux depuis les scieries aux usines de fabrication de panneaux de bois.

L’industrie du bois est comme ça, les billes de bois sont amenées dans une scierie, là elles sont découpées, lors de la découpe, les copeaux et sciure sont amenés dans un silo. Lors des périodes ou ça scie beaucoup, 1 fois par semaine, un camion vient chercher ces déchets. Car les usines de fabrication de panneaux en ont besoin pour faire des contreplaqués et toute la gamme qui va avec.

Pour charger cette sciure, il y a 2 systèmes, le premier est qu’on vient avec une semi a fond mouvant et le chargement se fait avec un trax, simple et pas salissant. Le 2eme système, c’est un camion muni d’un aspirateur et c’est avec ça que l’on charge. Mais c’est beaucoup plus long, dangereux et aussi plus salissant et endurant, c’est assez physique. C’est pour ça, qu’il y a que des jeunes qui font ce boulot.

Je suis allé voir le 2ème système comment ça allait. J’ai fait un tour de 400kms avec mon copain Pierre andré. C’est un jeune chauffeur, il a passé son permis en même temps que moi, mais a commencé a rouler depuis septembre de cette année. Il a reçu un camion attitré, c’est un vieux FH12 380ch camion remorque, avec petite cabine, mais généralement, il dort très peu dans son camion, 3 fois dans le mois.

Pour charger un camion, le temps moyen est d’environ 2h, mais dès fois c’est 3h de temps, avec pelle et fourche. Il faut faire bien attention, de ne pas se recevoir un tas de sciure qui dégringole, car on voit rien la dedans, a cause de la poussière que ça fait. Mais aussi, dans les silos, car il y a une vis sans fin, pour alimenter le chauffage de la scierie.

C’est pour cela, que l’hiver ces chauffeurs ont moins de boulot, ils sont très tôt a la maison, a raison de 1 tour par jour, voir 1 tour en 2 jour. Pour pouvoir charger, faut savoir manier la fourche et la pelle et aimer bouffer de la sciure.

On voit que c’est chargé aux sacs au dessus qui sont tous levés, car l’air passe par là pour sortir, sinon le camion exploserait et des spansets (sangles d’arrimage sont aussi tendues en large.) – (par Nico/2006)

Pour le déchargement, il faut lever les portes de côté, c’est à air car trop lourd sinon. Ensuite un trax vient pousser la sciure avec une lame.

Ensuite le chauffeur doit peller le reste que le trax n’a pas pris, généralement très peu. S’il doit recharger des panneaux ou des palettes, il faut souffler a l’air comprimé le reste de marchandise.

Puis balance pour poids à vide, et lavage, même les jantes sont brillantes maintenant.

Voila, une spécialité du transport, un boulot où il faut vraiment avoir la passion. Ce n’est pas de tout repos, mais il y en a qui aime.

Les pubs murales de nos nationales

Depuis la nuit des temps, l’humain communique. A l’époque préhistorique il peignait dans les grottes pour indiquer la présence de lions ou de mammouths. A moins que ce fût pour expliquer le menu du midi ? Ensuite avec les progrès de l’écriture, il s’est mis à graver dans le marbre ou le granit, mais pas facile de corriger les fautes d’orthogafe, aurtogaffe, enfin les fautes quoi. Et puis le travail était long et fastidieux, pour les soldes d’hiver, il fallait commencer à graver dès le printemps la liste des prix.
Puis dès le début du XXe siècle, et avec l’augmentation incessante du trafic routier, l’humain s’est mis à peindre les façades de maison proches des routes, dans un but la plupart du temps commercial, Alcools, Bagnoles, Hotels, Lubrifiants (l’ordre me parait logique).
Aujourd’hui, les nationales sont désertés, la plupart des marques ont changé de nom ou ont disparu, on reçoit nos pubs dans les boites aux lettres sans les lire, ou sur nos téléphone, en cliquant bien dessus pour que votre site préféré tienne encore un peu la route, parce que business is business !
Merci aux cromagnons de FDR qui ont fait les 72 photos de ce jour, Dan38, Samu88, Larage !

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/159

Sur les routes du Mali

Depuis quelques années, mon lycée est jumelé avec le CEFOTESK, (Centre de Formation Technique Sory Konaké) de la région de Mopti au Mali. Cette année, une délégation de professeurs et d’élèves y est allée. J’ai donc sollicité pour ne pas dire harcelé, mes collègues, pour qu’ils prennent en photos les transports locaux. Merci à Jean Claude, Edouard au Mali et à tous les participants. (Luc 2009)