L’Allemagne en 121 nouvelles photos

L’Allemagne est souvent considérée comme le moteur économique de l’Europe et joue un rôle central dans les affaires mondiales. Elle partage ses frontières avec la France, la Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Danemark, la Pologne, la République tchèque, l’Autriche et la Suisse. Le pays est caractérisé par une diversité de paysages, allant des montagnes des Alpes et des forêts de la Forêt-Noire aux plaines verdoyantes de la Basse-Saxe. Le réseau routier de l’Allemagne comprend un vaste réseau d’autoroutes (Autobahnen), de routes nationales (Bundesstraßen), de routes régionales (Landesstraßen) et de routes locales (Kreisstraßen). Les bouchons y sont fréquents, la police omniprésente. L’allemagne, c’est un aussi le pays des naturistes, de la fête de la bière, et si par hasard vous vous retrouvez en prison, sachez qu’aucune sanction ne sera mise contre vous, sachant qu’il est très difficile de s’en echapper. Ne manquez pas ces 120 nouvelles photos ici, et qui sait, ça va vous donner envie d’y passer des vacances !?? https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/189

Carnet de bord 2023 – Phil26 – Semaine 28

Une dernière semaine de l’année scolaire 2022/2023, c’est enfin les vacanes, finaement elle était gentille la maitresse cette année !!
Du régional, et un peu d’Allemagne, jongler avec les heures, les interdictions, c’est devenu une activité à temps plein pour les routmans modernes… La semaine est en ligne en cliquant ici 
Merci pour vos commentaires, soyez prudents cet été !

Carnet de bord 2023 – Phil26 – Semaine 25

C’est la première semaine de l’année ou j’ai eu chaud, pour dormir, pour livrer, pour acceder au client et même pour rentrer en fin de semaine !
Mais qu’on se rassure, c’est comme dans les livres pour enfant, à la fin tout est bien qui finit bien.
Bonne lecture, bon week-end, carresses, bises à l’oeil et cliquez ici vous serez bien aimables ! 

 

Carnet de bord 2023 – Phil26 – Semaine 23

Un peu d’exotisme cette semaine avec une boucle parfaite ou presque. Perso dans la vie c’est ce que je préfère, ne pas faire le même chemin à l’aller qu’au retour. Bien passé quand même, mais toujours du monde, de partout, jusqu’à l’écoeurement ou presque !
Cliquez ici si vous avez envie de lire la semaine 23 

Cap sur la Roumanie avec Tophe des transports Thevenon

En mars 2023 j’ai eu l’occasion de faire un transport entre la France et la Roumanie. C’est une destination rarement empruntée pour des français, pour tous les pays de l’ouest même ! Accompagné de Vincent un chauffeur des transports Poulard, nous avons pris la destination de Schela, à une vingtaine de bornes de Galati, ville d’environ 250000 habitants située en Moldavie roumaine. Bref, c’est carrément à l’est du pays, à proximité de la Moldavie tout court. L’Ukraine est toute proche aussi, l’occasion rêvée de se rendre compte à quoi ressemble le pays…

Pour rejoindre le pays il y a deux solutions au départ du 42, soit faire Italie-Slovénie-Hongrie et Roumanie ou bien Allemagne-Autriche et Hongrie. La deuxième solution à été retenue, la moins onéreuse compte tenu du prix du tunnel. En kilométrage ça se joue à pas grand chose. Qu’importe le trajet départ, la plupart du trafic PL se retrouve en Hongrie, et la fameuse douane de Nadlac ! La Roumanie, bien que faisant partie de l’Union européenne, est pour l’instant exclue de l’espace Schengen. Tous les véhicules et personnes sont contrôlées, les camions pesés. Le trafic en ce lendemain de jour férié en Hongrie est énorme car beaucoup de Turcs et de Bulgares transitent aussi par ici. Il nous aura fallu 7h et 12km de queue pour changer de pays…

Au début c’est plat, l’autoroute A1 est récente, bien revêtue. Des stations services modernes et d’autres en construction régulièrement. Bref, ça ressemble à chez nous, bonjour le dépaysement ! Puis soudain passé Faget, l’autoroute s’arrête subitement pour laisser place à la 68A. Là c’est viroleux, défoncé, bordé de parkings ressemblant à des champs de mines où jamais je n’oserai m’aventurer avec mon low deck ! Ça dure une quinzaine de kilomètres et ensuite on revient sur l’A1, ouf ! Le paysage devient montagneux, ça ressemble presque à l’écosse, au loin on aperçoit les contreforts des Carpates, la neige n’est pas très loin. L’A1 s’arrête à Sibiu, ça on le savait. Pour rejoindre Galati c’est un peu le casse-tête; on a demandé à plusieurs chauffeurs roumains, aucun nous a donné le même itinéraire. Soit le plus direct par Brasov, mais après c’est compliqué, les routes semblant pas très rassurantes, ou bien faire le crochet par Bucarest. Finalement on opte pour la capitale. On enquille donc la E81, route européenne avec un trafic de fous qui traverse les Carpates méridionales ! En fait c’est une route normale qui passe par la vallée de l’Olt. La moyenne en prend un coup, aucun bled n’est dévié et au vu du peu de travaux engagés l’autoroute n’est pas prête à être ouverte. Par contre c’est très joli, il y a un nombre fou de restos routiers, de stations de lavages, de marchands de tout et de rien installés en bord de route. On en prend plein les yeux ! Passé Pitesti on retrouve l’A1, mais la toute première version, ouverte en 1972. C’est défoncé par endroit et les rares parkings sont petits et il n’existe ni bretelles de sortie ni voies d’insertions ! Malgré tout, on arrive rapidement à Bucarest. La rocade, la DNCB, c’est, comment dire…tout d’abord on sort de l’autoroute pour déboucher directement sur un rond-point; évidemment ça bouchonne, et encore ce n’est pas les heures de pointe ! Ensuite, pour prendre direction le nord il faut carrément couper la 2×2 voie, au petit bonheur la chance ! ensuite c’est une succession de ronds-points et de feux. C’est carrément interminable ! On lâche la DCNB pour récupérer la E85 qui remonte sur Buzau. Il y a une espèce de BAU qui fait en fait office de voie de droite pour les véhicules les plus lents, comme les camions. Ca double à tout va, même si ça fait pareil en face. Là, je flippe carrément sur cette route. Les limitations de vitesse sont visiblement une notion abstraite du code de la route, ça déboule à tout va. Impressionnant ! Le vendredi soir nous nous arrêtons dans un routier à Rimnik avec 10h de volant depuis Timisoara. On y mange carrément bien pour 7 euros environ.

Le samedi matin nous rallions Galati par les petites routes coupant à travers. Ce n’est pas la meilleure idée mais c’est tellement typique avec les villages Roms et les charrettes à cheval ! On trouve grâce à truckfly un parking « sécurisé » en périphérie de la ville. En fait une espèce de terrain vague. Il y a des carcasses de voitures, des chiens errants comme partout dans le pays. Des camions immatriculés à Galati, principalement des bennes céréalières, d’où les chauffeurs remplissent des sacs en toiles de jutes pour alimenter certainement un marché parallèle de la céréale histoire d’arrondir les fins de mois…Beaucoup de camions Ukrainiens et Moldave aussi, mais aucun sanitaires. On demande au gardien de nous appeler un taxi qui pour 15 lei, environ 3€, nous conduit en ville où nous prenons une chambre d’hôtel, gratuite pour les réfugiés ukrainien, mais qui nous coûte 57€ pour deux. La vie ici est très peu chère pour nous mais sachant que le salaire moyen est de 800€ et le smic de 387€ net en Roumanie…

Le lundi nous récupérons les camions comme nous les avons posés, rien ne manque, et c’est bien le principal ! Le parking nous aura coûté l’équivalent de 6€ chacun. On vide nos skids sur un chantier à Schela; il est prévu que je recharge jeudi matin en Suisse vers St Gaal, Vincent recharge en Italie vers Brescia. Nous décidons de repartir par Brasov cette fois-ci, pour voir. On prend la route direction Adjud, puis la 11A jusqu’à Onesti. C’est bizarre, il y a des ponts limités à 25t, mais tout le monde y passe…ensuite la 11 qui coupe par les Carpates. Des panneaux indiquent interdit au + de 7t5 par essieux, on s’adapte aux locaux et continuons notre route. Toujours autant d’Ukrainiens par ici, le transport reste un maillon essentiel à la survie d’un pays, même pendant la guerre. Après Oituz la route grimpe la montagne, il y a des lacets mais rien d’insurmontable, les paysages sont magnifiques, et le crépuscule qui nous surprend avant Brasov ajoute à l’ambiance de la région. Ici vécut Vladisvad III dit Vlad l’empaleur, qui inspira l’histoire de Dracula.Brrrr ! Après Brasov c’est la route numéro 1 qui nous emmène à Sibiu, il fait nuit donc par conséquent on ne voit rien du paysage. Coupure après Sibiu sur l’autoroute, garés à l’arrache car les parkings sont blindés.

Le retour en Hongrie sera aussi une belle épopée, quasiment 5h pour arriver à la guérite roumaine où bizarrement on nous demande nos passeports et les cartes grises. Ensuite la guérite du garde frontière hongrois qui nous demande exactement la même chose. Évidemment tous les camions sont également pesés et les remorques ouvertes. C’est un passage à clandestins important ici depuis le conflit Syrien…

Ressenti personnel du pays et de ses habitants : tout d’abord je précise que c’est la première fois que je me rends là-bas. Les roumains sont au premier abord assez méfiants et froids. Puis en essayant d’engager la conversation en mélangeant de l’anglais, du français et de l’italien, les gens s’ouvrent, sourient. Les plus jeunes parlent anglais, les anciens beaucoup l’italien. D’ailleurs beaucoup de mots sont communs, et Vincent, sicilien d’origine, était ravi ! Curieusement j’ai toujours entendu dire que les roumains étaient francophiles, et bizarrement je n’ai pas pu converser en français, sauf avec notre chauffeur de taxi du lundi matin qui a vécu au Mans pendant une dizaine d’années, donc ça ne compte pas là !

Gazole à environ 1€45 le litre, pour nous c’est peu (enfin en 2023 !)

Les R12 Dacia sont encore bien visibles, ainsi que les carrioles tirées par un cheval.

Vu aucun radar automatique, quelques contrôles notamment de pesées. Selon notre taxi, il y a quelques contrôles radars à la jumelle, mais rares. Concernant le fameux bakchich ça deviendrait de plus en plus rare depuis que les policiers portent sur eux une caméra qui enregistre tout.

Très peu de camions étrangers, notamment les LT qui pullulent chez nous. Du Polonais, deux hollandais, un Irlandais, zéro français, si, un dans la queue à Nadlac quand on revenait, mais du Moldave et de l’Ukrainien à foison et évidemment tous les Turcs et Bulgares en transit.

Le voyage m’a plu, et j’y retournerai sans problème !

Un petit florilège du parc routier roumain

Nurburgring 1988

Une série de photos collector de l’expo et la course sur le mythique circuit de Nurburg. Michel Heckel, passionné depuis toujours par le monde du poids lourd, y était et a fait chauffer son scanner pour notre plus grand plaisir !
Cliquez ici !

 

Nurburgring 1987

Flash back sur la course de Nurburgring avec les photos de Michel Heckel en 1987. Le matériel a bien évolué depuis, l’enthousiasme a dû bien baisser aussi depuis !

Retour vers le passé et la fumée qui pique les yeux en cliquant ici 🏁🏁🏁

 

Carnet de bord 2022 – Phil26 – Semaine 49

3e semaine consécutive de passage en région parisienne. Sauf que là, pas de Champs Elysées, mais c’est l’A86. En resulte, une boucle presque parfaite !
Une semaine truffée de croisures avec des copains, la moyenne d’âge est élevée !!!
C’est en ligne ici : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

Volvo FH4b, Transports Duarig, Bourg En Bresse
Volvo FH4b, Transports Duarig, Bourg En Bresse