Transportes Mazo

 

149 photos ici : La société espagnole Mazo est aujourd’hui devenue un monstre avec près de 600 employés et un parc de véhicules qui frôle les 1000 cartes grises. Reconnaissables de loin avec leurs attelages bleus et leurs jantes rouges, ils sont aujourd’hui spécialisés dans le transport frigorifique en Europe, mais aussi vers le Maghreb ou ils desservent le Maroc mais aussi l’Algérie depuis 2012. Ils sont également spécialisés dans la desserte des Iles Canaries. Le début de l’entreprise a été un peu cahotique à sa création par José Mazo Ferrer en 1930, qui avec son camion Opel effectue la liaison Almeria Alzira. Fort de son succès, son parc s’agrandit rapidement à 5 véhicules, mais avec la guerre civile en 1933, les deux tiers de son parc est réquisitionné. La paix revenue, l’entreprise s’installe définitivement en 1939 à Alzira au sud de Valencia, et prend le nom original de ALZIRA. Cette société est dissoute en 1950 et reprend le nom familial de Mazo, l’expension de celle-ci ne se dementira plus jamais. Les premiers semi remorques apparaissent en 1965, il faudra attendre encore 10 ans pour les premiers frigos. Malgré sa longue ascension, l’entreprise reste encore familiale et reste attachée à ses racines.

Les transports Belzunces

Fondée par Antonio et Juan Belzunces dans les années 50 avec du transport à l’origine d’amandes et de céréales. Au début, le transport était effectué avec un Pegaso 140, à l’époque le premier de la province d’Almería. Les premieres années de l’entreprise ont été avec 4 camions avec semi-remorques bâchées. En l’an 2000, une étape importante à retenir est le prix de « l’homme des transports de l’année » décerné par le sous-secrétaire du ministère des Travaux publics. Devenus spécialisés en transports frigorifiques, 60 ans plus tard, c’est toujours un Belzunces à la tête de l’entreprise forte de 120 attelages aux couleurs imanquables. 65 photos https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/1350

 

Carnet de bord 2023 – Pierre70 – Semaine 30

Une semaine tendue comme un string ! Des kilomètres à gogo, des heures qu’il faut combiner avec l’inévitable troupeau de touristes à qui tout est dû ! Et bien sur quelques livraisons tordues ajoutée à une pincée de pipelettes. A la clé de belles routes, l’éclate totale à lire ici :

Carnet de bord 2023 – Pierre70 – Semaine 28

Une semaine sur les chapeaux de roues avec Pierre70. Un aller-retour en Espagne qui l’a amené jusqu’à Albacete, le tout en combinant des livraisons tordues en chemin. Accroché à l’arrière de sa semi remorque, son chariot a déclaré : « j’ai été tellement secoué que j’ai eu presque envie de vomir » C’est à lire ici entre deux mojitos 

Les 30 ans de route de Samu

J’ai passé (jour de mes 18 ans), et obtenu mon CAP-BEP CR en juin 93. Début juillet, les résultats.
J’ai donc reçu le sésame attestant le diplôme vers le 12, ce qui m’a permis de retirer le papier carton rose garni de ses indispensables et précieux tampons en préfecture le 13 au matin (un mardi).

Ca tombait bien, ce jour même, mon père était en train de charger en Alsace, à Kembs, 68, un complet de fenêtres pour un chantier d’immeubles sur Madrid (c’était un camion par semaine sur quelques mois).  Mes formalités réglées, je l’ai donc rejoint le soir au Pont d’Aspach et sommes partis après avoir mangé là.

Je me souviens avoir pris le volant pour partir, par la RN83, on passait au milieu des défilés de 13 juillet un peu dans chaque village, l’Isle/le doubs… Avec le paternel, pas question d’abuser de l’autoroute. On avait qu’une quinzaine de tonnes, supportable, pour un bon vieux R340 (de 86). De plus, je n’étais plus à l’école, mais en formation plus pratique cette fois.

Je me souviens aussi avoir traverser le pays le jour du 14 (mercredi) sans complexe aucun, ça ne date que de 21 ans en arrière, mais ce serait insensé actuellement. Ca roulait presque comme un autre jour, quoi. Juste mon père avait fait un CMR ayant départ côté D… Le transit étant toléré pour les jours fériés…

On est descendu d’une traite, mais tranquillement via RCEA, Montluçon, Bordeaux, jusque Irun, 16h de route. Maintenant, avec le progrès de la mécanique, l’amélioration de la RCEA, on met plutôt 13h30. Je me souviens également de l’image de verdure du Limousin au matin, la Souterraine…, après un ronron dans le lit du 340, alors que mon père conduisait. (et oui, déjà sommeil !)

Puis coupure en journée à la 1ère station à Irun, arrivée dans la nuit suivante sur le chantier Madrilène, après 6h de volant, via col de l’Etchegarate, Burgos… NI du début à la fin.
Plein d’images nocturnes de l’Espagne me restent, comme les lumières bleues de la Guardia Civil, sur leurs R19, BX ou autre Patrol Ebro garées improbablement en bordure de NI, prêts à débouler pour un contrôle en règle… ou bien les côtes interminables à l’approche de Madrid, le Somosierra ! C’était un chauffeur (Pascal, qui a roulé avec moi jusque mi 2018) qui faisait ce chantier en général, mon père l’avait déjà fait, donc pas de problème pour trouver. C’était au bord de la ceinture Est de Madrid. (M40,je crois peut être?)  Y en avait qu’une de ceinture de toute façon, à l’époque là.

Le déchargement prévoyait la journée, car ils posaient les vitres au fur et à mesure.
Pas de soucis, il y avait des douches, un resto pas loin. Puis de la sieste, la journée était vite passée.
On pouvait grimper dans le batiment, voir de près des types poser les fenetres, sans aucun EPI, naturellement…

Ensuite reparti en fin d’aprés midi, direction Barcelone, pas loin de 7 ou 8h de route, je crois. Via Zarragoza, Leida…NII tout du long. Il faisait encore jour un bon moment, des côtes balaises toujours, même pour un 340 à vide, Calatayud…. Et de sublimes paysages arides.

Zaragoza , Lerida, côtes à nouveau, puis arrivée sur Barcelone, à l’usine Cardoner de Castellbisbal exactement vers minuit. Une coupure de 8/9 h et rechargement le vendredi matin, de produits chimiques ND pour la région de Mulhouse, Rixheim je crois. Retour de ce 1er voyage dans la nuit suivante. Un 1er tour plutôt sympathique et inoubliable, que je me remémore chaque fois que je prends la RCEA direction l’Espagne, et qui m’a confirmé et reconfirmé que j’avais fait le bon choix concernant ma profession… A chaque approche des 14 juillet, j’y repense toujours. Nostalgie, je sais…

Carnet de bord 2027 – Phil26 – Semaine 27

Dans la série semaine variée, la 27 aura pas été la pire. Des clients cool, des clients moins. Du soleil, de la grêle, du baché, du solo, du fourgon, de tout je vous dis ! Et c’est à lire en cliquant ici 

Carnet de bord 2023 – Pierre70 – Semaine 26

Pauvre Pierrot, il livre ses piscines dans des endroits ou on irait pas en C15, il doit affronter à coup de pelle des Virgine, des Claire, et tout ça pour se faire bouffer par des moustiques le soir !  Comme dirait Calimero : « C’est trop inzuste » C’est à lire accompagné d’un kir en cliquant ici 

Carnet de bord 2023 – Phil26 – Semaine 25

C’est la première semaine de l’année ou j’ai eu chaud, pour dormir, pour livrer, pour acceder au client et même pour rentrer en fin de semaine !
Mais qu’on se rassure, c’est comme dans les livres pour enfant, à la fin tout est bien qui finit bien.
Bonne lecture, bon week-end, carresses, bises à l’oeil et cliquez ici vous serez bien aimables ! 

 

Carnet de bord 2023 – Pierre70 – Semaine 21

On dirait pas, mais ça bombarde un S500, une semaine de livraisons au taquet, des rues étroites de partout en Occitanie, au chateau de Tolédo, y en a pour tout le monde !

Et c’est à lire en cliquant ici ! 🌊🌊🌊🌊

Carnet de bord 2023 – Pierre70 – Semaine 19

Il aura saqué eud dans toute la semaine Pierre70, mais raté aucun repas ni livraisons. Des clients dans des tous petits centre ville Languedociens, de la Catalogne, Castille y La Mancha, Madrid ! Sans experience, la semaine se terminerait un dimanche matin !

Une semaine au rythme soutenu à lire en cliquant ici !