391 nouvelles photos Volvo

Volvo est aujourd’hui l’une des marques de camions les plus anciennes du monde. Souvent en avance sur son temps et innovante, la marque a toujours eu à coeur de donner tout le meilleur de la Scandinavie sous l’impulsion de Assar Gabrielsson et Gustaf Larsson qui ont conçu les premiers véhicules. En avance avec les premiers crash test, la boite synchronisée, la climatisation, la boite automatique, et plus près de nous, le camion commandé à distance.

Le confort des camions Volvo est tel, qu’aujourd’hui les heureux conducteurs de Volvo bénéficient de formations visant à beurrer des Krispoll sans faire de miettes, je sais, ça parait incroyable !

Rouler en Volvo, rend heureux et zen, il en va de même lorsqu’on les prend en photo, et aussi lorsqu’on clique sur la galerie FDR afin de découvrir les 391 nouvelles photos de la marque envoyées par les meilleurs spotteurs d’Europe, du Portugal et même de Bretagne !!! C’est bien simple, à chaque image on a envie d’acheter un Volvo !

Un grand bravo à Blum29, Cordoba580, Tibal Vincent, Samu88, Xavier, Tophe, Mich07, Bata25, Jason DL, JP74.

Alors toi aussi, rejoins la secte Volvo et clique ici, tu verras comme c’est cool !

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/8

 

44 Nouvelles photos camions Américains

44 nouvelles photos avec Surprise Bonux, des photos du salon Expo Cam de Toronto, on ne recule devant aucun sacrifice !
Merci Walter, Samu, Turbo, Mich
Bon visionnage, bon partages, bon cliquement !

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/136

 

France Routiers N°20

C’est vendredi, c’est le jour de se plonger dans la lecture des vieux France Routiers, scannés par Pat56.

Bien que la couverture ne soit pas bien alléchante, le contenu de ce n°20, est tout bonnement excellent, on y trouve l’essai du Volvo F1020, un zoom sur un routier de la Formule 1, un dossier complet sur les centre routiers en France, un périple en convoi exceptionnele en Afrique, et bien sûr toujours ces vieilles publicité dont regorgeait la revue, devenues collector aujourd’hui.

En un mot comme en cent, ne le manquez sous aucun pretexte, cliquez ici, pensez aussi à cliquer sur nos bannières, d’avance merci et bonnne lecture !!!

La définition du mot heureux

Heureux : définition de HEUREUX, adj. [øʁø]
Favorisé par le hasard, le destin ou la nature. Se dit à ou de quelqu’un dont on pense qu’il bénéficie d’un sort extrêmement favorable : L’heureux homme.
C’est exactement ce qu’il se passe quand on se retrouve au volant d’un des plus beaux F88 restauré par Laurent Bres, et qu’on réalise son rêve de gosse, aux commandes de ce fabuleux Volvo F88 !!!

Restera un vidéo souvenir, gravée pour longtemps !

Les Transports Transak de Sarreguemines

Frédéric, dit Moustique57, authentique mordu du V8 Scania, a passé une grande partie de sa carrière de chauffeur routier au sein de la société TRANSAK de Sarreguemines en Moselle. Par le biais du site www.fierdetreroutier.com il a fait le choix de nous confier une partie des ses photos personnelles, afin de rendre hommage à son ancienne entreprise aujourd’hui disparue.

Crée en 1974 par Michel Akhverdoff, la société aura jeté l’éponge en 2000, il est a noter, que les V8 Scania de l’époque, étaient déjà en echapement libre….

Pilote de rallyes automobiles amateur, Michel Akhverdoff troque son Alpine Renault berlinette contre un Saviem SM 260 et crée à 57 Grosbliederstroff son entreprise tout d’abord spécialisée dans le transport de glissières d’autoroute, il se diversifiera ensuite vers les marchandises générales. L’entreprise s’agrandira en faisant l’acquisition d’un Berliet TR280, d’un Volvo F89 et N12 de Scania LB 140 et 141 v8, de deux Mercedes 1932 v10 ainsi que de Daf 2805.

Fidèle aux Scania v8 141 et 142 au départ, ce ne sera qu’au millieu des années 80 que Volvo s’imposera majoritairement dans l’entreprise avec un parc de F12 Globetrotter, apres avoir eu trois Renault R310. La société va alors s’installer dans la Z.I. de 57 Sarreguemines en Moselle. A l’époque, les gros clients sont : les caillebotis Goettmann, les enduits Solor-VPI , les pneus Continental, le contre plaqué Agepan et les piéces auto en retour.

Et c’est l’apparition des Volvo F16.470 et F12.400 de deuxième génération. Il y aura aussi un Mercedes 1948 v8, deux magnifiques Scania 143.470 Jubilé, deux 143.500 v8 , quatre Renault AE 500 v8 Magnum ainsi que d’autre véhicules. Suite à des campagnes publicitaires choc ,l’entreprise acquièrera de nombreux marchés dans toute l’europe en particulier en Scandinavie, dans les pays de l’est (d’ou nous rapporteront de la porcelaine et des C.D), en Italie et Espagne entre autre. . Apres avoir racheté Straumann à Colmar le transport exeptionnel, Davotrans et Viking les spécialistes de la scandinavie, Henry les déménagements et Sarrat pour le vrac, de nouvelles sociétés se constitueront tel que Pac-Inter sur le 77, Aktrade, Transak-Sud à Nimes, Transka pour la RFA, et enfin Transak Trutnow en Tchéquie. De plus, l’entreprise optiendra un tres gros contrat en benne T.P. avec les mines H.B.L. pour vider les bassins de décantation de plusieurs millions de m3. de schlam. Ce travail durera de nombreuses années et sera effectué avec des tracteurs Mercedes 2636 v10 , véhicule inexistant en France, ils sont d’ordinaire prévus pour l’export vers l’Afrique, la Russie ou le Moyen-Orient.

Avec l’apparition des Volvo FH16.520 et FH12.420 carrénés et équipé finition niveau 3 ( siéges cuir et ronce de noyer ) , la flotte ak adoptera dès le début , les pneus larges à l’avant ( 385/65 X 22,5 ) alors qu’à l’époque tous les fabricants de pneus et les transporteurs le déconseillent et en rigole. Il y eut aussi une vingtaine de M.B actros 1843 méga-space mais qui ne firent pas de vieux os. Ce furent les plus belles années de transak.

Malheuresement les bonnes choses ont une fin et ce fut le cas pour transak qui jeta l’éponge en septembre 2000. Le négoce poids-lourds occasion ne marche plus car tout le monde achéte du neuf, la réglementation et la durée de travail deviennent de plus en plus draconiène, certains de nos gros clients ferment et il y eu certainement trop de « chefs et sous-chefs  » qui coutèrent cher à l’entreprise. Méme si les temps furent difficiles parfois, la majorité d’entre nous en garderont un tres bon souvenir .

Les transports MUNSTER du 42, prirent la relève sur certaines lignes, mais trés peu de chauffeurs ont suivi cette société.

Transak était une entreprise ou l’ambiance fut tres bonne et conviviale pour la plus part d’entre nous. Il y avait un coin cuisine ou patron et salariés se cotoyait dans une bonne humeur , méme parfois chaude. De nombreuses sorties ou fétes organisées et payées par l’entreprise, des stages de karting, de F3 à Magny-Cours. Le patron nous prétait les véhicules pour célébrer des mariages, pour les défilés et les trucker-festival, ou méme les véhicules pour des travaux privés à domicile ! Les plus fervants d’entre nous assistaient chaque année aux Grands-Prix camion du Castellet, du Mans, de Nogaro et Dijon-Prénois en France, et au Nurburgring en RFA ou Zolder en Belgique . De plus, Lutz Bernau avec son M.A.N de compétition courra un moment aux couleurs de transak . Mais l’une des plus belle fétes fut certainement celle des 20 ans de transak, avec l’édition d’un super C.D. Heureusement que nous avons encore les photos de cette époque et maintenant un site comme « fierdetreroutier » pour péréniser tous ces moments là.

Pierre François au Moyen Orient

J’avais envie de voir autre chose à la fin de mon service militaire, j’ai acheté un camion, je suis parti de chez moi deux ans. On livrait des compagnies pétrolières à l’époque les camions étaient plus rapides que les cargos d’aujourd’hui. Je suis dirigeant d’une société de transport de marchandise, je ne fais plus de long voyages tous les soirs je rentre chez moi.

Voici mon premier camion Volvo F12 : Celui-ci marchait aussi fort qu’un 142 intercooler, réglé, aux alentours de 420 ch, avec celui-ci j’ai fait l’Irak , l’Arabie , la Syrie , la Jordannie, le Koweit, les Emirats, je suis décendu à Aba 😯 kms à vol d’oiseau du nord Yémen

Il est dimanche matin, je décide d’aller me baigner à la plage de Kavala en Grèce.
Lors de mon premier voyage en Extrème Orient, j’ai fêté mes 20 ans au retour à Belgrade en Yougoslavie.
Dans le désert en Arabie Saoudite avec un copain français, on s’arrête parce qu’il fait trop chaud.
Je reviens de Abba on est à 80km à vol d’oiseau du Yémen Nord.

 

Les transports Levoye de Vieux Berquin 59

Voici quelques photos de Bruno dit le GAINS 59 pour faire revivre les Transports PIERRE LEVOYE de Vieux Berquin dans le Nord.

« partout on le voit ».

Aîné de cette famille de 6 enfants Gains59 tenait à faire hommage à son père décédé le 25 novembre 1985 à l’âge de 52 ans

Album de famille

Transports TLR – Livron (26)

André Espeisse, est le fils d’Alfred, routier chez Borel. Après des études de topographie, l’avenir de Dédé est tracé, il participe à de gros chantiers sur la vallée du Rhône, c’est nottement lui qui implantera l’A7 au niveau de Livron-Loriol, il ignore à ce moment là, qu’il batira sa réussite sur ce bout d’asphalte. Sportif, il va travailler tous les jours à vélo parfois à 30km de son domicile (et rentre même à midi pour manger), et le samedi il enchaine les match de rugby. C’est à la suite d’un match ou il s’est blessé, qu’il décide de partir à l’aventure et de s’installer à son compte dans le transport en octobre 1967.

Nous avons démarré notre affaire avec la Grenobloise. On faisait du TIR : Autriche, Italie, Danemark, Suède, Allemagne et Benelux. On transportait pas mal pour Caterpillar. A ce moment-là, nous arrivions déjà à faire 2 allers/retours sur la forêt noire en Allemagne ou même Linz en Autriche, avec nos FIAT 643 (porteur et 619 semi)..

Nous avons commencé sans le téléphone, il fallait se déplacer à la poste du village, nous sommes resté comme celà les 2 premières années d’exploitation.

A partir de mars 1972, nous avons participé au développement des transports Debeaux, avec 2 , 3 puis 4 camions affrétés en permanence chez eux. Notre porteur Fiat a été revendu au profit d’un Berliet 250.

Au fur et à mesure de la multiplication des agence en France chez Debeaux nous avons laissé tomber car, les agences telles que celle d’Armentières dans le nord favorisaient leurs chauffeurs et affrétés, si bien que nous perdions du chiffre d’affaire.

Dans le même temps ou nous développions notre affaire, nous avons participé aux grands travaux de la vallée du Rhône, comme la centrale nucléaire de Cruas, et divers chantiers comme le desenclavement du village de Marcols les eaux en Ardèche.

Avec le Berliet 6*4 et le TR260, nous avons fait les betteraves pour Beghin, et j’ai cédé par la suite mes contrats, à Serge Vidil, et moi, j’ai récupéré les siens chez Intermarché…

Dans les années 70, Renault et UNIC organisaient des concours, mais je n’ai jamais gagné, j’ai été 6e….

Alors même que je viens de laisser tomber les chantiers, je developpe les contrats Intermarché. C’est une aubaine à cette époque : 12 camions tournent pour la base de Loriol, ils nous obligent tout de même à nous équiper de G290 « pigeonnier », nous allions jusqu’à Dole, et faisions pas mal de km. Mais au fur et à mesure de l’ouverture de nouvelles bases, les circuits se sont réduits.

En 87, mon fils Fabrice obtient son permis C, et nous avons attaqué la ligne TFE sur Strasbourg et Paris. Au départ avec un R340 et un F12. J’ai recuperé aussi un 88 chez Intermarché sur l’instance d’un de mes chauffeurs (Alain26) pour qu’il fasse de l’Angleterre chez ND. Las des mauvaises habitudes de ND nous avons par affreter nous mêmes nos camions.Au fur et à mesure que nos chauffeurs Intermarché goutaient à la ligne que nous démarrions sur l’italie avec de la feraille, ils ne voulaient plus tirer les palettes et les chariots, 2 d’entres-eux ont même tout plaqué pour s’installer dans le 05, ah!!! ces bergères!

Nous développions donc le trafic entre la vallée du Rhône et le nord de l’Italie, via les routes des chèvres, Gap, Briançon, Montgenevre, été comme hiver, et 2 A/R semaine, avec 6 camions qui tournaient simultanément sur la ligne. Nous n’avons connu qu’un seul accident sur le Montgenevre avec notre plus ancien chauffeur, qui heureusement s’en est tiré avec une bosse!

Par la suite, j’ai eu une offre d’achat, j’ai tout revendu, mes chauffeurs ont suivi l’acheteur du 06. J’ai juste conservé un benne pour m’occuper en régional. Peu de temps après, un incendie criminel à ravagé 4 de mes 10 camions, dont 1 neuf, encore pas immatriculé, ni assuré. On cherche toujours le coupable. Financièrement on a bien dérouillé, ma santé aussi en a pris un rude coup, je n’ai plus pû travailler pendant 8 longs mois. Je tiens à remercier le directeur de Debeaux qui est venu à notre secours au moins moral, Volvo nous a bien aidé aussi, les clients, notre famille et nos amis. Par contre je n’ai pas repris ma carte de la FNTR qui sait prendre l’argent des cotisations mais vous oublie lorsque vous êtes dans la panade.

Composé essentielement de DAF, les camions TLR continuent aujourd’hui encore les allers retours réguliers pour le compte de la STEF entre Nice, Avignon, Athis Mons et Strasbourg.

Essai du Volvo F16 grumier

Un 16 litres qui a toujours sa place sur nos routes!

En mars 2018, mon père et moi, négociants en bois à Mont Sous Vaudrey (39) avons acquis ce camion d’exception.

Destiné au transport de bois, ce Volvo en 6×4 avec lames de ressorts renforcées et un PTAC de 33t n’a pourtant que 3 essieux et tient toujours debout.

Malgré ses 955 000km et ses 28 ans (#plusvieuxquemoi), il reste increvable . Il dégage un couple impressionnant que certains d’entre vous ont bien remarqué quand je les doublais en côte ( sur autoroute) chargé au Max (55t).

C’est un camion très agréable à conduire, la direction n’a aucun jeu (même à presque 1 000 000 de km) sans compter les heures de grue (inconnues) qui ne sont pas un moment de plaisir pour la vie d’un camion.

Pour aborder son seul point faible qui est sa consommation, on tourne dans les environs de 50 à 60l/100km selon le type de routes empruntées, ce qui, je trouve reste raisonnable pour un véhicule de presque 30 ans et roulant en fort tonnage.

Il est passé comme une lettre à la poste à son dernier contrôle technique (le nouveau). La seule panne que j’ai eu depuis qu’il nous appartient , est le ressort qui permet de faire remonter la pédale d’accélérateur (sur la pompe à injection) quand on relâche la pédale cassée. Mais on lève la cabine, on le remplace par un tendeur (provisoirement) et c’est reparti comme ci cela n’était pas arrivé.

Je monte assez souvent pour les connaisseurs «La Faucille », avec sa boîte à 12 rapports (6+demi) et ces 485cv, Je suis même parfois obligé de relâcher le pied pour ne pas verser le chargement. Bon, après pour la descente c’est autre chose. N’étant équipé que d’un ralentisseur sur échappement (qui reste tout de même assez efficace) le frein de service est toujours le bienvenu.

Comme il est écrit sur les bavettes à l’avant, ce modèle de Volvo est un titan de la route et le restera sûrement un moment.
Si vous nous croisez, n’hésitez pas à nous faire des appels si vous le souhaitez.

Côté habitabilité, la cabine du F16 accuse un peu le poids des ans, mais les materiaux de qualité qui le composent ont resisté, et il devrait facilement atteindre ses 30 ans, sans une ride ! Tout fonctionne !!

Et pour finir, une bonne vidéo !!

 

 

Le FH de Carlitos Navarro sous le soleil Catalan

Le Volvo FH de Carlitos Navarro des transports Luis Navarro est probablement l’un des plus jolis actuel en Espagne, jugez par vous même avec ce petit bout de vidéo, que vous pourrez partager autant que vous voudrez ! Olé !!