Mise à jour SCANIA 29/12/2018

Et oui, c’est la fête avec 350 nouvelles photos SCANIA, je sais c’est impressionnant !

Pour réaliser cette mise à jour visible en cliquant ici, il faut chaleureusement remercier les fidèles contributeurs : Christi, Samu88, Blum29, Mich07, Ptitdud, PtitYouth, Uwe, JJ, Pascale, Cordoba580, Larage, Samuele, Jaka, Tophe69.

Si vous souhaitez partager vos photos, n’hésitez pas à prendre contact avec FDR !!!

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/9

 

Sweden – Portrait –

Nom Prénom :
ANTHONY

Surnom(s): Fonctionnaire (?!), Sweden pour les habitués du forum

Date de naissance : avril 1976 à BESANCON
Chauffeur depuis : Juillet 1994
Différents métiers dans le transport : Baché, Frigo (en industriel) et tiroir
Marques favorites : une préférence pour les VOLVO
Marques detestées : les RENAULT
Citation : « Demain, il fera jour ! »

Pour me contacter : MailFacebook

Voici la carte d’Europe ou figurent les endroits les plus éloignés de chez moi ou je me suis rendu en camion :

Je suis fils et petit fils de chauffeur routier, mon papa m’a amené très tôt avec lui en camion. Mes premiers tours de roues , c’était pour des navettes Chalon/ Autun quand papa allait charger les ensembles de chez Raggini chez Dim.

Plus tard il aura l’opportunité d’être un des 6 chauffeurs chauffeurs à faire la navette entre la France et la Roumanie, il fera son passeport avec ma pomme dessus et c’était le début de mes vacances avec lui. Surtout l’été, l’hiver étant souvent compliqué à deux avec tout le nécessaire à amené dans la cabine. Plus tard ( un peu avant la chute de Ceaucescu ) il changera de crèmerie pour faire du ( grand ) régional sur tout l’est de la France. Je grandi et je comprend un peu plus les difficultés de ce métier mais plus ça va et plus j’aime ça. Bientôt je serais le copilote , je regarde plus les cartes , je participe aux dépotage, lavage de la citerne quand il fera de la pulvé chez Aubry. Ma grande taille me fais même passé pour le second chauffeur pour entrer dans les usines alors que je n’ai que 16 ans… une autres époque… L’école et moi sommes un peu en froid, je ne suis pas un mauvais élève mais bon, je ne suis pas destiné à faire de à faire de grandes études. Quand il faut choisir mes orientations pour l’avenir, le choix est vite fait pour moi, ça sera chauffeur. L’idée n’emballe pas vraiment mes parents mais ils me laissent suivre ma volonté.

Je rentre donc au lycéé automobile de Chalon sur Saône préparé un CAP/ BEP conduite et service , ça pète comme titre ! Je démarre avec un handicap pour les cours de conduite, j’ai subi une opération durant l’été précédent d’un genoux , le droit tant qu’à faire et des complications ont suivi. C’est pas ça qui m’inquiète le plus…Les résultats sont un peu mieux dans les matières atelier que général mais je réussi à m’accrocher quand même. je sortirais en fin de 2ème année avec les 2 examens.
Dans la même journée, je reçois un appelle un coup de téléphone de Mr Prudent himself me demandant de venir le voir pour du travail. J’attaque le soir même ; à cette époque les chauffeurs préparent leurs commandes, se chargent et enfin partent faire leurs livraisons… Bon j’avoue que je ne suis pas super emballé de finir ma tournéé à Macon sud, c’est pas l’idée que je voulais pour mon métier, je renonce au job et le lendemain je trouve une place chez Trans Europe à Chalon pour les remplacements de l’été, je saute sur l’occasion et surtout je pars en double avec mon pote Doudou qui travaille içi, une semaine en double mode aviateur et c’est le saut dans le grand bain,tout seul comme un grand. Italie et Espagne, je débute, c’est dur, je fais des conneries mais je m’accroche !

Un vendredi soir, l’entrprise Strabert appelle chez mes parents , ils aimeraient me voir pour me proposer un CDI. Le samedi matin je suis embauché pour remplacé un départ avec l’aval du directeur de chez Trans Euope qui ne peut rien me promettre de mieux à la rentrée.

Là ausi je vais en chier, le rythme est « soutenu », je roule souvent avec des savoyardes d’une autre époque mais je fais beaucoup d’Allemagne et du Benelux ce que je préfère. j’aurais aussi l’occasion de faire mes 1ers tours de Danemark. Je partirais sur un coup de tête au bout de 5 ans, en désaccord avec l’affrèteur plus qu’avec la direction.

Mon oncle chef d’atelier me fait entrer chez les transports Roger Bauland ( groupe Lannutti ). Ce n’est plus du tout le même boulot, je découvre le monde du porte verre. C’est un super boulot, un seul client, pas salissant, on roule, on revient à vide, vraiment pour un feignant comme moi c’est le top ! Je roule, je roule à travers l’europe cette fois !
Du Portugal à la Lituanie, de l’Irlande à la Grèce, en passant par les iles comme Majorque ou la Sardaigne, je m’éclate et m’épanouie dans mon job !
S’il me lit je voulais içi remercier Mr Bauland ( Mr avec énormément de respect !) de m’avoir permis de me rouler ainsi, il n’était pas tendre mais très droit, un patron comme il s’en fait plus beaucoup. Je quitte la boite ( devenue Lannutti France) en 2009 après dix ans, la crise économique nous touchant de plein fouet, et à grands regrets…

Je rejoins mon pote Fredo chez Bresse Fret à Bourg en Bresse, bennes et fond mouvant sur l’Italie ; je ne suis pas du tout à mon aise tant dans le boulot mais surtout la boite, j’ai l’impression de ne faire que des conneries et pire, je vais au travail en reculant, l’histoire se fini en 2 mois…

Autre piston de mon ami Mitchou qui me fait entrer chez Brignier International au Luxembourg. Je refais de la baché, c’est un peu dur de s’y remettre mais je me fais vite au groupage Italie, le boulot est assez sympa, il faut régulièrement se creuser les méninges pour faire un joli chargement, c’est sympa.

J’obtiens un peu plus tard le camion dont je rêvais aussi, le FH 540 XL, le camion de la mort qui tue pour moi !
Malgré tout je m’ennuie un peu, la ligne reste assez rengaine du fait de mon emplacement géographique, je reste cantonné au Piedmont pour faire 2 rotations semaine.

C’est à ce moment que Phil me propose de venir chez Duarig.Je pars malgré tout en bon terme avec la bonne équipe mais je laisse surtout des amis. J’avais déjà eu l’occasion de rencontrer Stéphane, le patron quelques années auparavant quand je voulais partir de chez Lannutti mais sans succès a ce moment là le staff étant au complet. là je bénéficie d’un départ en retraite, je saute évidemment sur l’occasion !
7 ans en 2018, une boite où je me sens vraiment bien, le boulot est divers et varié et surtout ça me plait.

2014, je touche un 105.510 tout neuf

DAF 106

Mes histoires…

PREMIER JOUR, PREMIER CONSTAT…

Le jour où je suis sorti du LP AUTOMOBILE DE CHALON SUR SAONE, j’ai trouvé du travail le soir même. Bon, ce n’était pas vraiment ce que je recherchais (Livraison de grandes surfaces en régional) alors je cherche autre chose et trouve facilement vu les remplacements de l’été qui se profilent.

Je débute donc chez TRANS-EUROP (GROUPE AUBRY) pour les 2 mois à venir. Je rentre fièrement chez mes parents le vendredi soir avec mon ensemble.

Le dimanche soir, départ 22H pour Marseille à vider lundi dans la matinée, mais je ne veux pas être en retard, je m’arrête pour dormir quelques heures en route. PREMIER PROBLEME PANNE DE REVEIL, le seul depuis 12 ans !!!

Je me magne de descendre à Marseille, je me rends dans le quartier indiqué par mon papa durant le week-end. Je tourne, je vire, et aperçois une station où je vais aller demander mon chemin.

Et là, c’est le drame !

Un panneau indiquant « GASOIL » se trouve un peu plus bas que celui qui indique le tarif des carburants, et bien entendu je le démonte en me garant devant la station. Le pompiste sort à ce moment là et (avec l’accent…) :

« OH PUTAIN, TU ES AU MOINS LE TROISIEME A ME L’ENLEVER CE PANNEAU »

Moi, les boules qui traînent par terre.

« BAH, FAUDRA PENSER A LE METTRE PLUS HAUT LE PROCHAIN »

Voilà comment je remplis mon premier constat amiable dès mon premier jour de boulot.

J’ai eu du bol que le directeur de l’agence était compréhensif, il ne m’en a pas tenu rigueur jusqu’à la fin de mon contrat. A ce jour, je le remercie encore.

Une galère…

Je suis chez mon 1er vrai patron ! Cela fait quelques mois que je suis là et je tourne pratiquement que sur l’Allemagne à ce moment là.

On roule encore pas mal avec des savoyardes d’un autre âge pour faire de la ferraille. Je finis de vider sur KASSEL je crois, et me dit de remonter à SALZGITTER pour recharger des tôles d’acier en précisant que c’est du 2m70, et donc qu’il faudra démonter les côtés.

J’avais appris beaucoup de choses avec les années à traîner avec mon papa, sûrement plus qu’à l’école, mais là, plier une bâche pour pouvoir démonter les ridelles d’un côté, j’étais bien embêté.

J’arrive chez mon client en début d’après-midi, on me dit d’attendre pour charger. Je commencerai bien à débâcher mais il fait un vent à décorner les boeufs, donc mauvaise idée. J’attendrai le dernier moment pour le faire, mais « P… , quelles sont lourdes ses satanées bâches de MER… »

Je démonte les poteaux, les ridelles, tant bien que mal, je charge et m’en vais au milieu de la nuit direction LA FRANCE. Je roule depuis 2 h environ dans les montagnes russes entre KASSEL et FRANCFORT quand j’entends un pneu qui éclate. Une de mes sangles s’est enroulée autour d’une roue après s’être détachée. J’arrive sur un parking, admire le travail et décide d’aller dormir (d’où « DEMAIN, IL FERA JOUR » ). Je dors quelques heures et me réveille avec le soleil qui chauffe la cabine, me lève et décide de changer cette roue sauf que là, pas moyen, les écrous sont presque tous grippés. C’est un peu dépité et me demandant ce que je fous là à l’heure qu’il est, il fait froid, je suis fatigué. Je n’ai qu’une envie, celle de tout laisser sur place. Quand malgrè tout, une lueur se présente sous la forme d’une dépanneuse qui arrive sur le parking pour remorquer un ensemble en panne certainement depuis la veille. Je laisse le gars descendre et prendre la température du camion à ramener. Je me paye le culot d’aller le voir et lui demande s’il peut me donner le coup de main qui me fait tant défaut. Le mec accepte sans condition, sort le pistolet pneumatique et de défait vite ces satanés écrous.

Après ça, j’aurais vite fait de changer ma roue et me de me remettre en route pour enfin rentrer chez moi.

Mes amis de la route !!

Shooté sur la route !!!

Mes routes….

Retrouvez mes anciens Carnets de Route !!!

CDB 2018 Phil26 #52

Et ben moi je dis, vive la semaine des 3 jours ! Par contre, il faudrait pas faire de repas à 8000 calories trop souvent. La semaine 52 est en ligne, un petit tour de Catalogne bien tendax parce que c’est mon destin ! C’est à lire en cliquant là…

Bon week-end, bonnes vacances, bonne lecture et merci d’avance pour vos clics de temps en temps sur les bannières du site !

http://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

 

Les 24h du Mans 1985 en vidéo

En 1985 la FIA réalisait une vidéo sur les 24h du Mans camions, l’occasion de revoir des images uniques et l’ambiance de l’époque avec des images de qualité ! Toute une époque ! Partagez, Likez, Cliquez sur ce document rare !!!

Un Renault R4080 miraculé

En 2014, Alain et Guy Simonet de Merlimont (62) ont récupéré un Renault R4080 de 1948. Un modèle identique à ceux que leur père Emile a fait rouler dans les années 50.

Ce rare camion a été acheté à quelques dizaines de kilomètres de chez eux sans toutefois l’avoir vu.

La surprise a été de taille quand il est arrivé sur le parc de l’entreprise car ce vétéran a très mal supporté le poids des années de labeur puis d’abandon.

Tout est à refaire, la partie gauche de la cabine a disparu, l’ossature en bois est très malade, le moteur a jadis été perforé par les fourches d’un chariot élévateur.

Alain qui était mécanicien s’est occupé de la réfection du moteur Renault 505 de 85 cv.

Une fois, la mécanique tournante, c’est au tour de la cabine de passer en cure de jouvence.

Tout est à refaire et elle sera reconstruite dans les moindres détails comme à l’origine tout comme la benne en bois.

Il aura fallu près de 4 ans et d’innombrables heures de travail acharné pour faire revivre cet ancêtre.

Il a été repeint dans ses couleurs d’origine, cette teinte a été retrouvée en démontant les feux de position. C’est la seule partie du camion qui a été épargnée par les différentes peintures reçues durant carrière.

Il ne reste à ce camion qu’à passer le contrôle technique pour pouvoir de nouveau circuler sur les routes.

Bravo à Alain et Guy pour ce travail de titan.

Je tiens à remercier Alain et Guy Simonet pour m’avoir accueilli chez eux, et consacré leur temps pour me faire découvrir leur chef d’œuvre, merci également à Christian Baron pour me permettre d’utiliser ses clichés.

 

 

Wornitz 1995

La préservation du patrimoine des véhicules industriels ne date pas d’hier en Allemagne. Uwe partage avec FDR ses photos souvenirs datant de 1995 lors de la concentration de Wornitz, située à mi chemin entre Heilbroon et Nurnberg. L’occasion de voir un bon nombre de marques disparues, pour la plupart aujourd’hui reprises dans les plus grands groupes industriels. Ne manquez pas ces 98 magnifiques photos collector made in Germany.

Hiver 1990, à travers l’Europe en Volvo F10

Avec ce reportage, nous suivons John Ole Baerum, un chauffeur alors agé de 29 ans à bord de son Volvo F10. Parti avec un bateau à livrer depuis la Norvège, il va livrer en Suisse, recharger en Italie. Le tout en plein hiver avec toutes les tracasseries administratives de l’époque. Le retour se fait via le tunnel du Mont Blanc, la France et l’Allemagne.

Même si les textes seront incompréhensibles pour la plupart d’entre nous, il reste 28 minutes d’images d’une qualité superbe, à ne pas manquer !

 

 

Transports Mortas (26) L’Ecancière

Un dossier signé Joel !!

En 1970, Aimé Mortas crée une société de négoce de volaille, « Les volailles de la Drôme Mortas ».

Il les achète aux abattoirs de la région et les revends aux petits commercants.

Il prends donc des petits porteurs frigorifiques afin de pouvoir les transporter par ses propres moyens.

Pour compléter l’activité, il passe l’attestation de capacité en Mars 1975 et se diversifie un peu en faisant du transport régional. Les principales destinations sont la Savoie, la Haute-Savoie, la Drôme et l’Isère. Les Transports Aimé Mortas voient ainsi le jour.

Quelques chauffeurs viennent grossir les rangs de ce nouveau transporteur, qui officiera exclusivement dans le domaine frigorifique. C’est toujours le cas aujourd’hui.

En 1988, André a envie de rouler encore plus, d’aller encore plus loin. Il rêve de continuer à faire du frigo, mais en primeurs, et avec le camion de sa propre entreprise qu’il voudrait créer. Son souhait se réalise cette année-là. C’est l’achat d’un 370 Turboleader, les transports TFM (Transports Frigorifiques Mortas) viennent de naître.

Les premiers voyages se font principalement en primeurs sur la Vallée du Rhône et la Suisse, avec des affréteurs locaux, avant d’avoir de nombreux clients.

Les Transports TFM ne cesseront alors de s’agrandir.

De nouveaux camions viennent compléter le parc. TFM comptera jusqu’à 11 ensembles, c’est une entreprise à taille humaine qui a toujours sû conserver une ambiance familiale.

Dans les années 90, c’est le temps où les voyages deviennent essentiellement internationaux. Les départs se font toujours principalement en primeurs depuis Perpignan ou la Vallée du Rhône, mais aussi parfois depuis Murcia (E). Les destinations sont toute la France, la Belgique, les Pays-Bas, l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse, et parfois l’Italie. Les retours sont variés, du congelé aux produits frais. Une petite part de l’activité se fait aussi en distribution de supermarchés.

Depuis le début de l’entreprise, André a toujours cumulé les fonctions : chauffeur, patron, dispatch, mécano.

Les week-ends sont entièrement consacrés à l’entretien des véhicules avec son père Aimé.

En 1997, la cour est trop petite pour accueillir tous les camions. Un terrain contigü plus grand est acheté pour pouvoir garer tout ce petit monde sans difficulté.

Au début des années 2000, la conjoncture difficile et les difficultés pour le transport longue distance obligent TFM à recentrer son activité sur le régional.

Ainsi, les destinations deviennent moins lointaines.

Aujourd’hui, la majeure partie des transports se situe dans un grand quart sud-est. Mâcon, Perpignan, Nice, Toulon ainsi que la Suisse sont devenus les nouveaux terrains d’activité de TFM. Les primeurs sont les principales marchandises transportées. Une petite part de la clientèle est faite de livraisons de supermarchés.

En 2000, André crée une nouvelle société, en plus de l’activité des transports TFM.

C’est AMAO, une société de location de tracteurs routiers.

La demande est forte en ce domaine, l’entreprise fonctionne à plein régime.

AMAO loue actuellement 11 tracteurs à différents transporteurs.

Le Grand-Prix du Castellet a toujours été un moment particulier chez TFM.

Il était inconcevable de ne pas y aller pour tous les passionnés de camions que comptaient cette entreprise. Il aurait été encore plus incongru de ne pas y aller en camion, autant pour André que pour les chauffeurs, car c’était avant tout la grande fête des camions.

Mais il y avait bien sûr des préparatifs incontournables, comme par exemple repeindre un carénage éraflé ou installer des feux supplémentaires avant le départ.

La fièvre et l’excitation s’emparaient de toute l’équipe dès la semaine précédent le départ et montaient crescendo. Pour ce week-end spécial, les voyages étaient donc autant que possible pour le sud-est, afin qu’une fois vide, les 3 ou 4 camions descendus soient présents au plus tard le samedi midi. Ceux qui avaient un voyage prévu pour un autre endroit descendaient en double avec un autre. Personne ne ratait ce rendez-vous annuel, sauf exception. Si un nouveau tracteur était rentré dans l’année, il était évidemment de la fête, un peu comme un rite initiatique pour lui. Une sorte de baptême d’entrée chez TFM en quelque sorte ! Une fois sur place, une des traditions était d’être toujours au même endroit que les années précédentes. C’était sous les pins, au bord du lac qui se trouve à gauche après l’entrée. Un peu comme une place réservée d’année en année, en quelque sorte.

Si vous êtes déjà allé au Castellet, peut-être vous souviendrez vous d’être passé devant « le camping TFM » ? Tout était prévu pour le ravitaillement et était entreposé dans une remorque groupe en marche. Barbecues et repas à l’ombre des pins faisaient bien sûr partie des habitudes incontournables. Une autre remorque était aménagée en dortoir provisoire afin que ceux qui n’avaient pas leur tracteur présent puissent dormir confortablement, ainsi que parfois des amis venus également faire la fête. Toute cette équipe retrouvait sur place d’autres copains travaillants chez d’autres transporteurs.

La fête allait bon train durant ce grand week-end.

C’était la grande fiesta du Castellet. Bernard et Christophe ont été présents chez TFM dès sa création. Ils ont vécus parfois des moments durs comme toute entreprise peut avoir à en traverser. André tient ici à souligner leur investissement total et l’abnégation particulière dont ils ont fait preuve pour l’aider, lui et la société, à maintenir le cap. De ce fait, des liens particuliers unissent André à Christophe et Bernard

Et encore des photos !!

Renault Range T

Volvo FH IV