L’Allemagne en 83 photos

Salut les amis, il est temps de se tourner un peu vers les paysages idyliques de l’Allemagne, 83 nouvelles photos signées Yaya et Uwe qui sentent bon la BAG, les Stau mais aussi la Currywurst, Le schnitzel, Le bretzel. Alors ne tardez pas, commentez après avoir cliqué, faites les choses dans l’ordre, c’est pas l’anarchie ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/allemagne

Les transports Westermann/Wheels

90 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/westermann-wheels
L’entreprise a été fondée en 1962. L’ensemble des services logistiques du groupe Westermann (Westmax, Wheels Road Rail, maxlog et van Ewijk) ont été regroupés en 2009 sous le groupe Wheels Logistik. Un témoignage de Jorge, qui y a travaillé :

-« En juin 1996, aprés avoir quitté la boite qui m’a permis de decouvrir les joies d’être chauffeur routier longue distance, j’ai embauché chez un petit transporteur qui faisaitt du service pour le groupe allemand Westermann. Ce groupe etait l’operateur logistique chez VW et assurait le transport routier entre les fournisseurs de pièces en europe, et l’usine toute neuve et à peine en début de production, Autoeuropa à Palmela, Portugal. Mon nouveau patron m’embauche donc pour conduire un camion remorque appartenant à Westermann et immatriculé en Allemagne. Le contrat etait de faire la navette entre les lieux de production du groupe VW et/ou de son partenaire Ford en europe pour fournir l’usine au Portugal ou etait assemblées les VW Sharan, Seat Alhambra et Ford Galaxy. Cela donnait des voyages de 1 semaine à peu prés. Le salaire etait bien sûr portugais! Le camion je l’ai reçu de son chauffeur allemand qui partait à la retraite. On a fait le voyage ensemble du Portugal jusqu’à Münster en Allemagne, siège du groupe Westermann. Je me souviens qu’il ne gardait pas rancune d’être remplacé par un portugais au salaire sans doute plus bas. Au fait Westermann se debarrassait aussi de ses camions et celui là etait un des 11 derniers et tous finiraient pas être conduits par des etrangers. Remarque, le camion restait au domicile du chauffeur, donc pour moi, la seule curiosité etait que je conduisais un camion à plaque d’immatriculation allemande, le reste c’etait simplement un boulot de chauffeur routier portugais. Erreur!!! Les deux 1ers voyages j’ai bien fait la navette entre Salzgitter (VW), Genk (Ford), Charleville Mézières (Ford), Daghenam (Ford – UK), Koln (VW) et Palmela. Pas dans cet ordre et pas tous dans le même voyage.. Mais les semaines suivantes, ils me planquaient à faire du regional en Allemagne ou alors entre Allemagne et Luxembourg ou Benelux et rien à voir avec les pièces VW/Ford… la 1ere fois où je l’ai dit à mon boss, il m’a répondu que c’etait pas du tout ce qui etait prévu avec les allemands et que j’etais libre de faire ce que voulais. Les allemands se sont justifié en disant que c’etait un cas isolé. Jusqu’au voyage suivant… Au dernier voyage et aprés 3 jours de regional en Allemagne, j’appelle mon boss et je lui dis que je rends le camion chez eux à Múnster et que je rentre au Portugal par avion! Il me donne son accord… Ils finissent par me donner un retour de Salzgitter pour Palmela le jour même. Arrivé au Portugal avec camion vide et mes affaires à la maison, je leur rend le camion à leur bureau de l’usine Autoeuropa. Ils ne cherchent pas à comprendre.. C’est un « bonjour et au revoir ».. sans plus. Le camion est repris dès le lendemain par 2 chauffeurs qui partiront en double. Comme je disais plus haut, je conduisais un des onze derniers camions à eux. Je sais qu’un autre etait conduit par un equipage portugais, mari et femme et j’ai rencontré une fois un des autres 9 camions conduit par un roumain, oui déjà à l’epoque.. J’ai donc gouté un peu à ça pendant un peu plus de 2 mois au tout début du recours à la main d’oeuvre low cost dans le transport routier, detenu pas les grands groupes. J’ai dit non, comme je le dirais aujourd’hui car, citant un collègue brésilien qui est retourné dans son pays: « Si c’est pour être esclave, autant l’être chez moi. »

Carnet de bord 2025 – Pierre70 – Semaine 23

C’est qu’il se fait vieux maintenant le Pierrot ! Pour les livraisons en France, du moins en Alsace-Lorraine, ça va encore ; par contre une fois sorti en Allemagne, il lui faut un co équipier. Un qui conduit, un qui porte, un qui fait la traduction ! Alors achtung, on promène dans les coins touristiques du sud de l’outre Rhin ici : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=20

Carnet de bord 2025 – Pierre 70 – Semaine 19

Durant des siècles, il se disait que la culture de l’olivier ne pouvait pas de faire au delà du 45e parralèlle. Autant dire Valence dans la Drôme. Aujourd’hui, il est admis qu’avec le déréglement climatique, la culture de l’olive peut se faire jusqu’aux Portes de Lyon. Les prévisions indiquent qu’à ce rythme avant la fin du siècle on pourra déguster une moutarde de Dijon goût Olive. Pas étonnant donc, que les livraisons de piscines se fassent également de plus en plus au nord, et d’ici que Pierre70 fasse valoir ses droits à la retraite il livrera des piscines autour d’Umea en Suède. Pour cette semaine, il s’est cantonné au sud de la Rurh. Et en plus avec de généreux clients : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=20

Carnet de bord 2025 – Phil26 – Semaine 16

Semaine de reprise sur les chapeaux de roues ! Du boulot varié, des rebondissements aussi. Une semaine au taquet histoire de bien se remettre dans le bain ! Bonne lecture, souriez, vous êtes filmés : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

Duvenbeck, 41 photos

Duvenbeck, 41 photos   https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/duvenbeck    L’histoire de l’entreprise remonte à l’année 1932, lorsque Christian Duvenbeck a fondé son entreprise de déménagement avec une équipe de chevaux. De 50 employés en 1992, le nombre est désormais monté à 5.500. Au milieu des années 1990, l’entreprise a fait le pas de la scène allemande à la scène internationale. Depuis ce temps, DUVENBECK a connu une forte croissance. DUVENBECK Logistik GmbH, Graz est l’un des 41 sites européens du groupe allemand, présent en Allemagne, Autriche, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Espagne, République tchèque et Hongrie. Malgré la taille maintenant atteinte, l’entreprise se considère toujours comme une entreprise de taille moyenne qui n’a pas perdu le contact avec le terrain et mise sur des « vertus anciennes » telles que la fiabilité, la confiance et l’honnêteté. Duvenbeck possède plus de 1 500 camions, principalement utilisés par les clients des secteurs automobile et industriel, ainsi que des véhicules agricoles.

Carnet de bord 2025 – Pierre70 – Semaine 13

Avec le dérèglement climatique,  il va falloir s’habituer à des périodes de canicules plus longues et de plus en plus au nord. La preuve avec les mises en chantier de piscines de plus en plus nombreuses en Allemagne, d’ici quelques années, Pierre70 ira peut être en livrer au Groenland. Pour le moment, c’est de l’Allemagne provençale au programme ici : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=20

Dachser, 210 photos

  Dachser, 210 photos https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/dachser    Alors en pleine crise mondiale, l’Allemagne n’est pas épargnée, mais celà n’empêche pas de jeune Thomas Dachser de fonder son entreprise de transport à Kemten au sud de l’Allemagne, à quelques kilomètres de la frontière autrichienne avec un seul véhicule. Visionaire, l’entreprise grandit, et dès 1934, des agences sont ouvertes dans toute l’allemagne.  Les années sombres arrivent rapidement, et la flotte des véhicules de Dachser est saisie par la wermarcht dont les besoins sont énormes. Au sortir de la guerre en 1945, l’entreprise est en ruines, mais avec les anciens clients et contacts restés fidèles, l’entreprise renait se ses cendres. Tout est à reconstruire, et il se positionne sur le transport rapide en ouvrant une agence à l’aéroport de Munih dès 1951. Thomas Dascher a posé les bases de l’entreprise en offrant un service sur mesure à ses clients. 

Il disparait en 1979, laissant l’entreprise à ses enfants qui ne cessent de la developper et la moderniser. Ils s’ouvrent sur le marché des denrées périssables. Avec la chute du bloc communiste, Dascher étend ses services vers les pays de l’EST, mais aussi vers l’afrique du nord avec le rachat d’un joyau du transport français : Graveleau. L’entreprise reste toujours familiale à e jour et ne cesse de coller à son époque.

Hoyer 94 photos

Hoyer, 94 photos :  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/hoyer  Bruno Hoyer est à la tête d’une modeste société qui livre du lait dans la région de Hambourg, crée en 1922, son entreprise est reprise par son fils Walter en 1946 qui crée une nouvelle entité dont le nom lui rend hommage. C’est ainsi que démarre la « Bruno Hoyer Internationale Fachspedition ». Désireux de faire grandir sa petite entreprise il achète son premier  camion avec lequel il effectue la ligne entre Hambourg et Berlin. C’est à la fin des années 50 que l’entreprise prend ses premiers transports de produits chimiques et dans la foulée ouvre sa première filiale à l’étranger en 1960 à Rotterdam. Dans l’euphorie des années de la reconstruction après guerre tout va très vite. Si bien que dès la fin des années 1960 il est l’un des premiers à effectuer des transports combinés qui constituent au final l’ADN de l’entreprise en démarrant avec 7 containers, ilsouvrent alors leur remière agence en France puis en Grande Bretagne. La première plateforme « overseas » est ouverte en 1980 à New York. Dans le même temps l’ensemble de l’Europe est desservie, le reste du monde également de l’Australie au Bresil en passant par la Russie. Le groupe Hoyer c’est aussi, les truckstops très appréciés par ceux qui les frequentent, des stations de lavage, des stations de carburant…

Dopke, 46 photos

Dopke, 46 photos :  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/dopke  En 1946, le grand-père Willi Döpke a fondé une entreprise de transport avec deux véhicules et a commencé à effectuer des transports de chantier dans la région de Hanovre. Le père Friedhelm Döpke a repris l’entreprise en 1978 et a pu l’étendre en gagnant plus de clients. En 1983, après avoir terminé sa formation de transitaire, Holger Döpke rejoint l’entreprise de ses parents et se concentre notamment sur le transport international. En 1993, le transport international a été externalisé de l’entreprise parentale et Holger Döpke a déménagé dans le triangle frontalier de l’Allemagne, de la France et de la Suisse. Döpke Logistik est basée à Endingen am Kaiserstuhl depuis 1995. Depuis lors, les domaines d’activité existants ont été continuellement agrandis et de nouveaux créés. Le 1er janvier 2018, Holger et Alexander Döpke ont finalement repris Döpke GmbH Spedition basée à Isernhagen de Friedhelm Döpke, fidèle à la devise : Retour aux racines traditionnelles ! https://doepke-logistik.de/unternehmen/