Carnet de bord 2021 – Phil26 – Semaine 21

Encore une semaine compliquée, avec une moyenne d’environ un client par jour, j’ai vraiment envie de rendre mon tablier !
Y a interêt que la semaine prochaine soit meilleure !
Até breve, et bonne lecture os amigos : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

 

Carnet de bord 2021 – Pierre70 – Semaine 07

Encore une grosse semaine Iberique pour le livreur de pisines Pierre70, il a même fait une petite incursion au Portugal juste pour le fun !

C’est à lire tranquillement entre deux Pasteis de nata ici : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=20

Bonne lecture, partages et clics !!!

Un Genève Lisbonne avec Yvan

 

Mercredi 05 février

Il est 15h et je reçois mon sms pour la suite , charge demain matin en banlieue Genevoise , un complet de déménagement pour Igreja Nova au Portugal , c’est noté. Je téléphone à mon Pete , spécialiste entre autre de la Suisse , vu qu’il a tracté pour la safram , il m’indique la marche à suivre ainsi que l’itinéraire , c’est royal quand tu as quelqu’un qui connais, ça enlève une belle épine , donc je file a Bardonnex pour faire ma coupure .

Jeudi 06 février

Il est à peu près 7h15 quand je me radine à l’adresse indiquée hier sur le sms , un zoning tout ce qu’il y a de plus classique. A 8h une personne vient me chercher pour me faire mettre en place , à 12h tout est fini , je retourne au poste au frontière , douane ok , retour au Saint Siège.  Mr Giraud m’informe que je garde le voyage , je suis surpris , je pensais le vider au dépôt ,mais je vais pas couiner bien trop content de descendre de ce côté ci .

Dimanche 09 février

C’est tipart pour 2 jours de route , hi ha !

Lundi 10 février

Biarritz , San Sebastien , Vitoria Gasteiz , le pays basque s’ouvre devant moi , à Salamanque on trace par la A26 en direction Vilar Formoso et sa fameuse IP5 , j’en est tellement entendu parler par les anciens avec sa grande descente que j’ai hâte de passer mes roues sur les leurs ,le passage frontière se passe au calme , j’enquille direction Guarda , je fini mes heures à Castelo Branco sur une station service .

Mardi 11 février

Aujourd’hui ça va être tranquille ,direction la banlieue nord de Lisbonne pour faire les douanes ,arriver à la dite dogana , je fonce à l’etage ou je trouve quelqu’un qui m’explique la procédure tout en trouvant mon interlocuteur pour les papiers ,je redescends au camion , petit coup de fil de Georges qui est un affreté Duarig Beaurepairois , il me raconte qu’il venait ici a cette douane , on papotte un bon moment ,le gazier des douane revient me porter tous les papiers et me dit que tout est en ordre , le journée se fini tranquilou milou milou .

Mercredi 12 fevrier

La veille j’avais préparé mon itinéraire , pour se rendre à Igreja Nova c’est direction Mafra par la A21, ça circule bien , arrivé sur place , on repère l’endroit exacte , petite cité pavillonnaire , la manœuvre va etre rock n’roll ,mais ça va le faire , une fois que l’équipe de déménageur est en place ,il y à plus qu’a attendre que cela se passe , en début d’après midi c’est plier , un petit sms de Franck qui me donne ma première ramasse , direction Povoa de Santa Iria , c’est au alentour de Lisbonne , une fois accomplis , autre message pour autre ramasse , c’est donc dans le calme que je file sur Sao Jao da Madeira , je finis mes heures .

Jeudi 13 février

Arriver a bon port , je décroche ma remorque a coté d’un ensemble Marocains , une fois mes palettes prisent en compte c’est vamos Espana via Viseu , un petit passage devant les transports Figueiredo et Transbranca , la route défile devant mes yeux jusqu’à Vila Real , après cap a l’est par Benavente , petit sms de Maryan pour une tite ramasse en péripherie de Leon à Santa Olaja de la Ribera , apres je file sur Burgos pour finir à Monasterio de Rodilla à la Brujala , bon petit restaurant ou bon nombre de français se retrouvaient , je me retrouve à table avec 2 compatriotes .

Vendredi 14 février

On remonte tranquille sur la France , je m’arrête le soir à Sainte Marguerite

Samedi 15 février

Retour au Saint Siège , fin de ce beau voyage .

Les transports Luís Simões

Alors adolescent Luís Simões transporte des fruist et légumes avec une carriole dans les années 30 sur les marchés alentours de Lisbonne. En 1948, il obtient son permis de conduire et achète son premier camion Dodge et très rapidement, il diversifie son activité avec le transport de materiaux, puis de céréales en vrac au début des années 60. L’entreprise familiale devient un acteur important du transport Portugais.
 
Dans les années de la révolution, l’entreprise opte pour la location de véhicule afin de mieux adapter sa flotte à la demande de la clientèle, lui permettant de coller aux plus près au marché local, une division transports exceptionnels est aussi crée.
 
Une grave crise de la construction touche le Portugal dans les années 80 et mettent à mal les finances de la société, on dit qu’il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier, Luís Simões décide de ne jamais avoir plus de 20% de son business dans le même secteur d’activité.
 
Le secteur de la logistique se developpe dans les années 90 avec des bases installées aux 4 coins de l’Espagne, avec là aussi des branches variées, depuis l’alimentaire en passant par les déchets et l’automobile.
 
Très discrète, l’entreprise jouit toujours au bout de toutes ces années de sa réputation de sérieux.
 

Transports Pombalense

Depuis quelque temps, je suis plongé dans le tri de la photothèque FDR, depuis des années, je trie avant tout les photos par marque. Petit à petit, je les réuni aussi par transporteurs, et ça ne demande qu’à s’aggrandir.
Bien que l’époque soit assez sinistre, je voulais partager ma joie de voir le travail avancer avec les transports Pombalense.
Les couleurs assez originales sont les mêmes depuis toujours, le kaki faisant référence aux couleurs militaires, puisque c’est une partie de leur clientèle, à noter que Pombalense a repris à l’époque la société Jaime Dias, et qu’elle est fidèle depuis plusieurs générations à la marque SCANIA

https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/1524

 

La 7e concentration de camions à Loulé Portugal

La municipalité de Loulé  organisera la 7ème réunion des camionneurs les 13 et 14 juillet 2019, selon le calendrier suivant:

 

Le 13, il aura lieu au Parque das Cidades à 10h00, avec des activités et des expositions à partir de 15h00 et un spectacle musical pendant la nuit de 22h00 à 14h00.

Le 14, le défilé débutera à 10h dans le Parque das Cidades, avec un défilé dans la ville de Quarteira et se terminera à Loulé pour la convivialité habituelle.

Nous attendons avec impatience votre confirmation lors de notre événement.

 

Pour plus d’informations, contactez:

 

Norberto Neves – +35 911 551 972 ou +35 963 932 231

Mikael Fernandes – +35 913 813 684 ou mikael.fernandes@cm-loule.pt

Un tour Belgique/Portugal

Chargement vendredi a Laakdal en Belgique de 2 bobines de métal, arrivée a 13h, pas moyen de trouver la bonne entrée, je tourne en rond, un chauffeur polonais me voyant en galère monte avec moi et m’emmène jusqu’à la bonne entrée. Bascule, parking, ouverture de la fosse puis attente, café, attente…

8 heures plus tard je me mets enfin en place, un vieux vient m’engueuler, j’ai jamais su pourquoi, apparemment j’allais pas assez vite…

Chargement Arcelor a Laakdal

A 23 heures fini, nuit sur le parking de l’entrée.

Lendemain, petit coup d’ oeil à l’itinéraire et hop je suis partie…

Petit problème, pas moyen de trouver la vignette et site internet en panne. Donc une bonne partie du chemin par les départementales.

Villages Belges qui se succèdent puisque je n’ai pas de vignette

Je m’arrete charger des palettes pour Porto et je reprends la route.
Je roule toute la journée, jusqu’à la dernière aire avant Poitiers, j’en ai marre et je suis bien là. Je passe le weekend bloqué avec 2 espagnols et un vieil ukrainien super sympa.

Weekend bloqué avant Poitiers

Lundi, je reprends la route, je roule jusqu’à Burgos, je passe la nuit au resto où se trouve l’as24.
Je coupe à travers par les nationales, j’ai le temps et j’adore ça ! Rouler quand on peut prendre son temps, ça c’est agréable ! ^^

Je passe par Benavente puis rejoint la route pour prendre par Vigo.

Je n’étais jamais passée par la frontière nord du Portugal, le paysage est magnifique, mais la route est fatigante, les montées à 30 km/h se succèdent, et les descentes avec un ralentisseur de premium me semble bien longue…

Montée bien compliquée dans la région de vigo, montée à 30km

Je décharge mon client à Viana do castello où je retrouve un collègue. On repart ensemble vider a Porto.

Puis je m’en vais charger du vin sur la route de Villa Réal, je m’arrête au bureau…  » Non , Mlle nous n’avons rien pour vous aujourd’hui, revenez demain  » La journée était bien partie, mais elle s’arrête la. 

Porto

Le lendemain je me mets à quai à 11 h après avoir attendu 2 heures qu’un quai se libère.
Chargement fini, je me mets en route pour aller vider vers Marseille, une petite pause gazoil à l’as24 de Villa real, une pause qui s’éternise, j’ai une perte d’air trop importante, mais je ne sais pas d’où ça vient. J’attends un peu, puis repart, mais obligation de s’arrêter toutes les 2 heures, sinon toutes les alarmes se mettent en marche. Je m’arrête, je coupe, je redémarre et je repars, direction le garage à la Jonquera.

AS24 villa réal, problèmes qui commencent …

Je m’arrête passer la nuit vers Soria, je mange et discute avec un hollandais et 2 vieux espagnols qui partent dans un discours politique dont je ne comprends pas un mot, à un moment il rigole… alors je rigole et tout le monde rigole, même si on ne comprend rien. Le retour au camion vers 2 heures du matin se fait en zig zag et je faits une coupure de 13heures. ^^
Le lendemain la route se passe tranquillement avec mon problème d’air jusqu’au garage, et voila une bonne semaine qui se termine et un weekend « chargé » qui s’annonce à la Jonquera. (Nalmay)

Photos d’ambiance, de routes au Portugal

Parce que si vous avez envie de vous la rouler cool, c’est ici qu’il faut cliquer pour musarder sur les plus belles routes du Portugal avec les magnifiques photos de Carlos un amoureux de son pays !

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/192

Mise à jour VOLVO du 20 octobre 2018 : 230 photos

Ta vie est triste, tu n’as pas le moral ? Alors vite j’ai la SOLUTION pour que te redonner la foi, clique ici : http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/8 et tu découvriras des centaines de photos de toutes époque et de tous continents de la marque VOLVO, aujourd’hui ce sont un peu plus de 200 photos qui ont été ajoutées grâce à la participation de purs passionnés qu’il convient de remercier ici bas : JJ, Bjorn, Domi81, Uwe, Anthony, Cordoba580, Volvoviking, Chris42, Chouchen, Wim, Samu88, Jaka, Adrian, JP74

La Stouff

La trop courte histoire de la STOUFF

C’est grace à la participation d’anciens chauffeurs de la Stouff, des routiers nostalgiques de la trop courte aventure de cette entreprise que ce dossier a pu voir le jour.

La plupart des anciens de la Stouff, sont aujourd’hui retraités, plus de 30 ans ont passé et les souvenirs sont restés intacts. Aussi, nous esperons que cette page suscitera l’envie chez d’autres anciens, de partager leurs photos, textes ou autres documents. Nous souhaitons ainsi compléter cette rubrique au fil du temps.

Pour nous contacter : sitefdr@gmail.com


Stouff MIB

C’est en 1972, que Philippe Stouff, alors co-fondateur de la SAVAM, rachète la société Trans’Mib, spécialisée dans le transport de meubles.

Cette société est très rapidement rebaptisée STOUFF INTERNATIONAL.

A cette époque, le Moyen orient est un eldorado qui attire bon nombre de transporteurs. Les ports étant saturés, la demande de transport routier est très forte, la STOUFF se lance dans l’aventure du Moyen orient en novembre 72.

Le parc est alors principalement constitué de camions remorque bachés, grands volumes, essentiellement des BERLIET GR280 mais aussi des SAVIEM SM300 un peu moins appréciés de par la fragilité de leurs boites à vitesse.

L’extension du parc est telle que la STOUFF recrute à tour de bras, afin d’assurer les transports. Elle recrute malheureusement bon nombres de chauffeurs inexpérimentés, qui abandonnent leurs attelages parfois même dès l’Italie ou se le font…. « Voler ». Certains ensembles finissent dans le ravin, dépouillés ensuite par les autochtones.

A cette époque florissante, la STOUFF loue même une villa à Teheran pour ses chauffeurs bloqués sur place. Pas mal d’entre aux, utilisent alors les camions de la société pour effectuer des transports intérieurs et compte tenu du prix du litre de gazoil (2 centimes), arrondissent largement leurs salaires.

Les Stouff ont connu des moments de gloire, notamment en assurant la livraison de préfabriqués aux sinistrés d’un tremblement de terre, à la lisière du Kurdistan. Prioritaires aux douanes, ils alignent alors les 3500kms du tour en une dizaine de jours. Evidemment, vous l’aurez compris, il y avait peu d’heures de sommeil en cours de route!

Mais, en 1976, c’est une banale modification administrative qui sera la cause du dépot de bilan de l’entreprise.

En effet, cette nouvelle mesure, sensée eviter des fraudes aux taxes en cas d’abandon du véhicule, exigeait du transporteur, une somme de 15000FF par camion. Sachant qu’à cette époque la STOUFF compte 440 ensembles, la somme est colossale.

Les carnets de commandes sont pourtant pleins et malgré la pression des principaux clients, l’appui et les promesses des banques, malgré la mobilisation et la manifestation des routiers, bloquant l’accès au tunnel du Mont Blanc, tout ça n’y changera rien, la STOUFF sera condamnée à la fermeture.

Certains chauffeurs apprendront la nouvelle alors qu’ils sont encore loin et une poignée d’entre eux abandonneront alors leurs vehicules sur place.

Ainsi s’achèvent quatre années d’un essor formidable, enlisé à jamais dans les sables de l’administration.


Voilà les photos de Raymond dit le « fusillé » (suite à un  voyage en Turquie dans le Tahir). Il habitait à l’époque Annemasse et est maintenant dans les Deux-Sèvres (79). Il y a travaillé environ 18 mois juste avant la fermeture. Vous pourrez decouvrir quelques photos des derniers jours de vie de la Stouff. Photos du bloquage du Fayet ou les chauffeurs se sont pris des pierres par leurs colleges devant l’autoport du Mont Blanc et du siege social à Annemasse.


Les magnifiques photos d’Henri Cardone….


Christian Piochaud a travaillé aux Transports STOUFF à partir de 1973 sur l’Italie en régulier, il avait un camion remorque Berliet 280 ch.

En Mars 1975, à la suite du premier choc pétrolier, il a pris la route vers l’IRAN qu’il a fait jusqu’en AOUT 1975. Ensuite, il a continué sur les routes du Moyen Orient mais dans une autre entreprise.


Voilà les photos de Patrick Stouff, fils de Mr Philippe STOUFF, qui a travaillé lui même quelques temps dans la société et qui a eu l’amabilité de nous faire parvenir ses clichés. Mr Stouff père coule aujourd’hui une retraite paisible et aura 80 ans en septembre.


L’album de JP de brevannes


Pierre, surnommé Pierrot le savoyard, a roulé pour la maison de 1970 a 1975 en inter. Europe seulement…..des regrets !!! bien sur, il aurait aimer faire au moins une fois le Moyen-Orient… Mais parfois, on a des choix a faire…la famille OU la route !!!


L’album de Jean François LLos

J’ai fait environ 3 ans à la Stouff, le camion en photo n’est pas le mien, sur le mien il y avait devant coté chauffeur 2 pieds + une inscription  » la moelle  ».
J’ai fait les 3/4 de mon activité au Portugal où j’ai été en location chez un transporteur inter portugais  » LASEN  ».
J’avais pas mal de potes de la Stouff à Montgeron 94, moi j’habitais à Vincennes.
Un de mes meilleurs amis était Maurice Auguy dit  »l’auvergnat », en quittant la Stouff il a été à son compte chez le transporteur  »Giraud  », malheureusement il est décédé. Je venais de temps en temps sur Annemasse passer de bons moments. J’étais souvent au restaurant à Coulonges sous Salève.


L’album de Jean-Louis

Voici des photos de la Stouff, sur les transports pour le tremblement de terre de LICE en 1975. On parle beaucoup de la Stouff comme quand j’y étais, mais personne ne la voit jamais, c’est toujours « on m’a dit » ou « on a vu », alors j’espère que ces photos feront la joie de tous ceux qui regardent ce site, ce sont mes plus belles années de routier.

Jean Louis

Si mes potes me reconnaissent: jm2.bat@wanadoo.fr 

BAZAGRAN la frontiere entre la turquie et l’IRAN, c’est un entonnoir, tout le monde se retrouve là, c’est la tour de BABEL. Apres avoir traversé DOUGOBAYAZIT, dernier village TURC, tu as sur ta gauche, le mont ARARAT et l’ARMENIE devant toi un immense plateau et l’Iran. La file de camions! Tu attends ton tour, bien sur pas de toilettes, rien pour te laver et tu es bien content d’avoir des provisions. Les turc eux, passent en contrebas de la route et bataillent dans la boue. Un petit gars avec une carte de visite du transitaire ramasse les papiers « TRANSMONDIAL », tu fais confiance. La nuit, si la file avance, personne te reveille et tu te retrouves derriere. Pour passer la frontiere, un porche en haut d’une cote, c’est vraiment une frontiere naturelle, ça frotte sec avec les turcs. Passé la frontiere, tu redescends et il faut trouver une place pour se garer.

Une fois les formalites terminées, tu prends la route et ce qui fait le plus drole, plus un trou, des bandes blanches, tu comprends qu’ici ils ont de la monnaie et c’est plus tranquille.

A la douane

Sur la route, un peu de tout !!

Les photos de Christian Turcutto

Bonjour, voici les photos prises entre 1973 et 1976. Je roulais surtout sur les routes du moyen orient (Iran, Turquie, Syrie, Irak) sans oublier l’Italie et le Portugal et une partie de l’Europe (Angleterre, Allemagne, Autriche, Belgique…)
Sur les photos, on peut y voir des collègues comme Jean (avec sa barbe), Patrick Merle… et bien d »autres.
C’était le bon temps!

Quelques coupures de presse de Christian Turcutto :